Chiens des Ozarks : Le livre de Eli Cranor

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Sonatine

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Jusqu'où sommes-nous capables d'aller pour protéger ceux que nous aimons ?
Eli Cranor, une nouvelle voix du roman noir venu des USA. Il s'inscrit dans la lignée de Cosby et de Joy. Rentrée littéraire janvier 2025.

Taggard, Arkansas. Chômage et récession frappent durement cette petite ville des monts Ozarks. C'est là que vit Jeremiah Fitzjurls, un vétéran du Vietnam, en compagnie de sa petite-fille, Joanna, qu'il élève seul au milieu de sa casse automobile. Pour protéger celle-ci d'un monde extérieur de plus en plus hostile, Jeremiah lui a transmis tout son savoir, en particulier sur le maniement des armes et l'autodéfense. Mais aucune ressource n'est suffisante quand les Ledford, une famille de suprémacistes blancs de la région, dealers de meth, décident de s'en prendre à la jeune fille. Jeremiah comprend alors que plus rien n'arrêtera la violence, sinon peut-être la violence.

Avec Chiens des Ozarks, salué dès sa sortie par une critique unanime, Eli Cranor brosse avec un réalisme inquiétant, quasi documentaire, un portrait de la vie dans les monts Ozarks. Entre les forces brutes de la nature et une société plus sauvage que jamais, quel espoir reste-t-il pour l'humain ? Il fallait un écrivain de la trempe d'Eli Cranor pour répondre.

" Eli Cranor est l'un de ces rares auteurs qui savent vous couper le souffle, vous tirer des larmes et vous faire jubiler, et tout ça en un seul paragraphe. " S. A. Cosby

" Chiens des Ozarks est un roman fait de bains de sang et de dettes de sang, qui montre jusqu'où on peut aller pour protéger les siens. Eli Cranor est un brasier qui gagne du terrain à chaque livre. " David Joy

" Un roman qui s'imprime dans votre esprit avec une puissance fiévreuse. Cette histoire de poids familial et d'héritages obscurs est nerveuse et profondément déchirante. Ne passez pas à côté ! " Megan Abbott

De (auteur) : Eli Cranor
Traduit par : Emmanuelle Heurtebize

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Expérience de lecture

Avis des libraires

" Sur un ring rural tapissé de réminiscences sudistes s'affrontent un vieil ours armé jusqu' aux dents et une meute de hyènes blanches et suprémacistes. Entre le vétéran du Vietnam, prêt aux pires extrémités pour protéger sa petite-fille, et les résidus hargneux d'un Ku Klux Klan toujours debout, ça ne peut que défourailler à tout-va. De cette Amérique éternelle, Eli Cranor gratte les stigmates béants. (...) Eli Cranor sait aussi nous exposer crûment comment fermentent puis explosent des années de haine comprimées dans les silos de la vengeance et des non-dits. Au bout du compte, les portées de molosses se dévorent entre elles au cœur d'un microcosme consanguin où même la fille du shérif succède à son père. Les arbres généalogiques se tordent, la morale s'embourbe, et les balles blindées de méchant calibre fusent telles d'irrévocables crocs. Dog eat dog... "|Jean-Luc Manet
LH Le Mag
" Eli Cranor joue d'emblée dans la cour des grands. (...) Quant à l'écriture, elle est superbe, elle fait aussi la puissance de ce roman bouleversant. C'est l'écriture du roman noir dans sa grande tradition, à l'économie comportementale d'une efficacité foudroyante. Pas un mot de trop pour donner à cette histoire la dimension de la tragédie classique. Si le titre renvoie d'abord aux chiens que Jeremiah affame pour les rendre plus efficaces dans la surveillance de sa casse automobile, " Chien des Ozarks " désigne in fine les hommes de cet endroit, redevenus sauvages, enragés, coincés jusqu'à la folie dans l'enclos de leur désespérance. "|Michel Abescat
France inter
" C'est un peu notre fixette du moment, mais c'est quand même fou combien les polars les plus violents sont sans doute ceux où l'on parle le plus, et le mieux, d'amour. Par violent, on ne parle pas d'empilement de cadavres ou de tortures raffinées, plutôt de personnages saturés de tristesse, de regrets, de vengeance, de force et de faiblesse. (...) Tout ce petit monde va se croiser pendant une nuit entière, et c'est une autre performance d'Eli Cranor que cet entremêlement d'une nuit avec le récit de toutes ces vies pleines de fureur, d'urgence et d'amour. "|Fabrice TASSEL
Le nouvel Obs
" Jusqu'où peut-on aller pour défendre les siens? C'est la question que pose crûment ce roman noir et âpre, terriblement réaliste, dans lequel la sauvagerie des hommes est à la mesure de celle des paysages. Et même si les bains de sang se succèdent, le roman reste empreint d'une certaine délicatesse. C'est qu'Eli Cranor n'a pas son pareil pour dépeindre des personnages masculins à fleur de peau, souvent au bord de la désespérance et à la fragilité évidente malgré leur virilisme affiché. "|Samuel Loutaty
Télé Z
" Eli Cranor brosse un portrait d'un réalisme inquiétant, quasi documentaire, de la vie dans les monts Ozarks. Entre les forces brutes de la nature et une société plus sauvage que jamais... "|Julien Dodon
L'Echo du Centre
" Aux États-Unis, le roman rural noir revit. David Joy et Eli Cranor mettent en scène des individus que tout oppose, dans leurs petites villes du sud des États-Unis. Y aurait-il un certain renouveau du " rural noir ",dans la lignée d'un Ron Rash ? Deux auteurs américains, publiés par les éditions Sonatine, nous amènent à y penser. [...]
Dans Chiens des Ozarks d'Eli Cranor, il est aussi question de suprémacisme blanc, de passé lourd à porter, d'armes, de drogue, de violence facile. Nous sommes toujours dans la partie sud des États-Unis, dans des paysages là aussi très sauvages. " |Michel Troadec
Ouest France
" Eli Cranor est l'un de ces rares auteurs qui savent vous couper le souffle, vous tirer des larmes et vous faire jubiler, et tout ça en un seul paragraphe. "
S. A. Cosby
" Chiens des Ozarks est un roman fait de bains de sang et de dettes de sang, qui montre jusqu'où on peut aller pour protéger les siens. Eli Cranor est un brasier qui gagne du terrain à chaque livre. "
David Joy
" Un roman qui s'imprime dans votre esprit avec une puissance fiévreuse. Cette histoire de poids familial et d'héritages obscurs est nerveuse et profondément déchirante. Ne passez pas à côté ! "
Megan Abbott
" Chiens des Ozarks est un roman noir pur jus. Préambule à une fin sans espoir dans une nature en osmose avec ses habitants. Brutal, sans pitié, traversé par des veines de sang noir, imperméable au bonheur. C'est aussi un roman so very much American. Trois quarterbacks. L'un est mort, l'autre en prison, le dernier sur le point de faire une énorme connerie. (...) Noir. Toujours plus. Chaque chapitre apporte une information. Une pièce dans le puzzle. Il est question de trahison, de retour en arrière impossible. De la faute des pères, et plus encore de celle de la mère. Formidable personnage que cette Lacey qui survient à la fin du roman. Atroce et grandiose tout à la fois. L'auteur s'est inspiré d'une histoire vraie, ce qui donne une dimension encore plus tragique au roman. Il existe donc dans la vraie vie des hommes et des femmes qui ont perdu toute humanité."|Karen Lajon
La vie en noir
" Chaque page de ce magnifique roman suinte le sang, la haine, les regrets. Chaque page amène le lecteur au plus près de ce grand-père prêt à tout pour sauver sa petite fille. Mais les dernières pages, elles, réservent quelques surprises de taille pour un dénouement qu'on n'attendait certainement pas. "|Laurence Darbas
Evadez-moi
"Nouvelle voix du roman noir américain traduit en France, Eli Cranor succède à S.A. Cosby et à David Joy, tous deux publiés aux éditions Sonatine. Avec Chiens des Ozark , il livre un roman noir ancré dans les paysages austères de l'Arkansas, au cœur des monts Ozark. (...) C'est un texte qui ne cherche pas à édulcorer la réalité, il met bien l'accent sur l'aspect communautaire des Américains, mais il s'éclaire aussi d'humanité et de possibilités de s'extirper d'un certain fatalisme. Et puis, comme Cosby ou Joy, Eli Cranor a su créer deux personnages magnifiques auxquels on s'accroche de manière presque désespérée. "|Aude Lagrangé
Aude Bouquine
" Dans sa façon d'esquisser un sentiment de fuite en avant inéluctable, de dépeindre les protagonistes qui s'y abandonnent, Eli Cranor trouve sa voix. Et transmet quelques impressions durables. Le Sud n'a décidément pas fini d'exprimer par la plume le malaise profond qui tenaille une partie de sa population. "|Yoann Labroux Satabin
Télérama
" Imaginer le chemin qui mène d'un auteur à son propre livre, c'est reconstituer le silence et les ombres dont le réel exhale des fragments illisibles. Pour écrire son deuxième roman, Eli Cranor s'est emparé du monde caché entre les lignes d'un fait divers. (...) En laissant percer une voix très singulière, Eli Cranor maîtrise les standards du roman noir et parvient à éviter habilement l'impression de ''déjà-lu''. "|Lionel Germain
Sud-Ouest Dimanche
" Rédemption, vengeance, poids du destin, les thématiques sont sublimées par une écriture sèche et nerveuse. Après David Joy et S. A. Cosby, le polar rural américain s'enrichit d'une nouvelle figure à suivre. "|Christelle Ben
La Voix du Nord

Avis Babelio

dominolu

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 mois

Quand j’ouvre un roman d’un auteur qui m’est encore inconnu j’ai la fébrilité de découvrir une plume et une sensibilité nouvelle…Avec « Chiens des Ozarks » de Eli Cranor, j’ai retrouvé l’ambiance d’une Amérique profonde, celle dont on ne parle pas. Loin du cliquant, des lumières et du tumulte des mégapoles que l’on trouve dans les romans de Ellroy ou Connelly. Dans « Chiens d’Ozarks » on est dans l’Arkansas, dans une casse automobile ou Jeremiah, le grand père de Joanna, élève seul la petite fille abandonnée par sa mère Lacey. Jake, son père, purge une peine de perpétuité. Mais la petite fille a grandi, elle vient d’avoir 18 ans et rêve d’émancipation et même si elle n’a pas froid aux yeux, Jeremiah tremble de la savoir bientôt à l’université. Entre réunions d’encapuchonnés blancs et dealers de meth, l’environnement de cette petite ville de l’Arkansas n’est effectivement pas un havre de paix pour la jeune fille qui est une proie alléchante pour les malfrats qui rodent aux alentours de la casse. Mais d’où viendra vraiment la menace ? Dans ce roman noir, les comportements humains sont poussés à l’extrême, entre cynisme froid et violence programmée, le destin de Jo bascule inexorablement ! D’un réalisme et d’une tension palpable, cette fiction s’appuie malgré tout sur une intrigue inspirée d’un fait réel qui a eu lieu dans la ville natale de l’auteur. Après S A Cosby et David Joy, Eli Cranor est encore une très belle découverte grâce aux Editions Sonatine que je remercie pour leur confiance.

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Julieetsapassionlivresque

4.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 mois

Jeremiah Fitzjurls (vétéran du Vietnam) vit dans sa casse automobile à Targgard en Arkansas, petite ville où le chômage frappe. Il y vit avec sa petite fille Joanna et lui apprend tout son savoir sur les armes afin de la protéger. Quand des dealers de meth s’en prenne à elle, Jeremiah comprend que rien n’arrêtera la violence ! Que sommes nous capable de faire pour protéger ceux que nous aimons? Ce roman noir se lit rapidement avec un intérêt grandissant au fil des pages. Les chapitres sont courts et apportent du rythme. L’ambiance est noire, anxiogène parfois dérangeante. La tension monte crescendo, la violence fait rage. La plume est prenante, sombre et addictive. J’ai adoré certains personnages comme Jeremiah, prêt à tout pour sauver sa petite fille ! En résumé, c’est un excellent roman noir, j’avais espéré une autre fin mais on ne peut pas tout avoir #128517; Si vous aimez les romans noirs, je vous conseille celui-ci écrit avec une plume percutante, addictive afin de mettre le doigts sur les dérives des trafics de drogues. PS: si vous aimez S.A. Cosby vous pouvez foncer les yeux fermés !

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Lollipop59

4.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 mois

Chiens des Ozarks est un roman noir américain percutant très prometteur qui plaira particulièrement aux adeptes des auteurs tels que S.A. Cosby ou David Joy ! A découvrir dès le 9 janvier prochain ! Âmes sensibles s'abstenir : certaines scènes de violence peuvent choquer les plus sensibles. Avec Chiens des Ozarks, salué dès sa sortie par une critique unanime, Eli Cranor brosse avec un réalisme inquiétant, quasi documentaire, un portrait de la vie dans les monts Ozarks. Entre les forces brutes de la nature et une société plus sauvage que jamais, quel espoir reste-t-il pour l’humain ? Il fallait un écrivain de la trempe d’Eli Cranor pour répondre. « Eli Cranor est l’un de ces rares auteurs qui savent vous couper le souffle, vous tirer des larmes et vous faire jubiler, et tout ça en un seul paragraphe. » - S. A. Cosby « Chiens des Ozarks est un roman fait de bains de sang et de dettes de sang, qui montre jusqu’où on peut aller pour protéger les siens. Eli Cranor est un brasier qui gagne du terrain à chaque livre. » - David Joy « Un roman qui s’imprime dans votre esprit avec une puissance fiévreuse. Cette histoire de poids familial et d’héritages obscurs est nerveuse et profondément déchirante. Ne passez pas à côté ! » - Megan Abbott Jusqu’où sommes-nous capables d’aller pour protéger ceux que nous aimons ? Taggard, Arkansas. Chômage et récession frappent durement cette petite ville des monts Ozarks. C’est là que vit Jeremiah Fitzjurls, un vétéran du Vietnam, en compagnie de sa petite-fille, Joanna, qu’il élève seul au milieu de sa casse automobile. Pour protéger celle-ci d’un monde extérieur de plus en plus hostile, Jeremiah lui a transmis tout son savoir, en particulier sur le maniement des armes et l’autodéfense. Mais aucune ressource n’est suffisante quand les Ledford, une famille de suprémacistes blancs de la région, dealers de meth, décident de s’en prendre à la jeune fille. Jeremiah comprend alors que plus rien n’arrêtera la violence, sinon peut-être la violence... Je remercie @Sonatine et @NetGalleyFrance de leur confiance. J'ai eu le plaisir de découvrir cet auteur en avant-première grâce à son second roman très intense Chien des Ozarks que j'ai beaucoup apprécié car je l'ai lu d'une traite, comme en apnée. Il fait parti de ces romans qui continuent de vous hanter une fois la dernière page tournée. Après celui-ci très prometteur, j'ai vraiment envie de découvrir son premier roman intitulé Don't Know Tough qui n'a pas encore été traduit en France (ce qui est vraiment dommage), même s'il a obtenu le prix Edgar Allan Poe du Meilleur Premier roman d'un auteur américain en 2023. La scène s'ouvre à Taggard dans l'Arkansas, un endroit bien connu de l'auteur puisqu'il y vit, ce qui donne de la vraisemblance et de l'authenticité au récit. Au cœur des monts Ozarks, région hostile et en crise, Jeremiah survit avec sa petite-fille, Joanna (Jo), dans une casse auto protégée par une meute de chiens devenus sauvages, surnommés "la Royauté". D'emblée, l'atmosphère est sombre, violente et anxiogène car le danger est omniprésent : le père de Jo, Jake, est emprisonné à perpétuité pour une raison obscure que l'on découvre au fil des pages. La mère de Jo, accro à la meth, l'a abandonnée à sa naissance pour la confier à Jeremiah, sans donner aucune nouvelle depuis. La seule famille qui reste à Jo est son grand-père qui lui apprend à se défendre toute seule contre le monde extérieur très menaçant, jusqu'à ce qu'elle se fasse kidnapper... Le duo de personnages formé par Jeremiah, grand-père surprotecteur, et Jo, sa petite-fille âgée de dix-huit ans en quête d'émancipation, est très touchant : il y a une réelle complicité entre eux et un respect mutuel qui rendent l'intrigue très émouvante. Un lien viscéral les unit et lorsque Jo disparait, Jeremiah retrouve ses réflexes de sniper en tant que vétéran du Vietman. La structure cyclique de ce roman, qui s'ouvre et se ferme de manière épistolaire, offre un dénouement d'une noirceur abyssale, symbole de ce cercle vicieux de la violence qui est inexorable, vain, sans espoir. A la dernière page, j'ai ressenti un goût amer d'inachevé un peu frustrant, comme un éternel recommencement. Un roman noir dérangeant dont le lecteur ne sort pas indemne !

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evergreen13

4.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 mois

L'héritage du sang Je commence par remercier NetGalley et les éditions Sonatine pour m'avoir permis de lire ce roman en avant première. Il sortira le 9 janvier, et je le conseille à tous les amateurs de littérature américaine et de romans noirs. Comme David Joy qui n'écrit que sur ce et ceux qu'il connait, Eli Cranor, présenté comme « une nouvelle voix du roman noir américain », inscrit son intrigue dans les lieux où il vit et ses personnages pourraient être ses voisins. Authenticité garantie. Nous voici dans l'Arkansas, au sein des monts Ozarks. La région n'est pas franchement touristique, et la crise économique ne l'a pas épargnée, réveillant au passage des mentalités ultra conservatrices et survivalistes. A Taggart Jeremiah Fitzjurls tient une casse : des véhicules accidentés ou hors d'usage s'entassent en attendant de passer par la broyeuse, sous la bonne garde de « La Royauté », une meute de chiens presque sauvages, qui patrouille la nuit pour empêcher tout intrusion. Jeremiah est un veteran de la guerre du Vietnam. Il est rentré avec un syndrome post traumatique qu'il a soigné à sa façon, en buvant des litres de bourbon… Il élève seul Joanna sa petite fille. Pour elle, il cessé de boire, brutalement et totalement. Il lui a tout appris, notamment comment se défendre car à Taggart, le nom de Fitzjurls est marqué. Jake, le fils de Jeremiah, et le père de Jo, un garçon prometteur, croupit en prison depuis 16 ans, et pour le restant de ses jours… Et dans les montagnes, la famille Ledford n'a rien oublié de ce qui s'est passé il y a 16 ans. le patriarche, un suprémaciste affilié au KKK, aidé par son fils, ourdit une terrible vengeance dont Jo va devenir l'enjeu. Thriller noir et violent ce roman ne laisse aucun répis au lecteur. L'auteur a construit une intrigue crédible à travers des personnages qu'il est parvenu à ne pas rendre trop manichéens (le danger était grand !). Au fil des pages, la dramaturgie s'installe, la tension monte… le récit est intense, empreint de violence, et le suspens est préservé jusqu'à la fin (un petit bémol sur les toutes dernières pages…). Eli Cranor, un auteur dont je vais guetter les prochaines parutions (petit message à l'éditeur : à quand la traduction du premier roman « Don't Know Tough » qui a obtenu le Prix Edgar Poe du meilleur premier roman d'un auteur américain en 2023 ?). #chiensdesorzarks #NetGalleyFrance

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Fiche technique du livre

  • Genres
    Romans , Roman Étranger
  • EAN
    9782383991472
  • Collection ou Série
  • Format
    Grand format
  • Nombre de pages
    304
  • Dimensions
    202 x 141 mm

L'auteur

Eli Cranor

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22,00 € Grand format 304 pages