Le Comte de Monte-Cristo - tome 2 (Collector) : Le livre de Alexandre Dumas

Nous reprenons là où nous nous étions arrêté avec le premier tome, c'est à dire avec les invités attendu pour le repas dans la nouvelle maison du Comte. Lors de ce repas, tout le monde va voir son destin basculer. Les convives ne savent pas mais la vengeance du Comte de Monte-Cristo va s'abattre sur eux. Ce second volet voit les plans du Comte se mettre en place. Il place ses pions petit à petit. Parfois, on se demande où cela va mener mais, au final, la vengeance est là prête à être exécutée. Un tome où j'ai eu du mal à remettre qui était qui pour le Comte de Monte-Cristo/Edmond Dantès en attaquant ma lecture. J'aurai dû enchaîner tout de suite les deux tomes et ne pas attendre plusieurs semaines. J'ai aussi trouvé des tics d'écriture surtout dans les dialogues où souvent les personnages reprennent le premier mot ou phrase pour la redire. Les paragraphes de description sont aussi plus nombreux et n'apportent pas grand chose de plus à l'histoire. Cela m'a freiné dans la progression de ma lecture. Par contre, la dernier partie où coup sur coup la vengeance tombe, la vérité éclate et tous tombent comme des mouches remet de l'action et du suspense. Malgré une lecture plus poussive, j'ai apprécié cette lecture et la découverte de cette histoire en version livre qui est plus poussée et aboutie que l'adaptation télé que j'ai pu voir. Il ne me reste plus qu'à voir le film sortie cette année.

Voilà la fin de cette magnifique œuvre, ce fut long mais tellement bon. Je ne sais même pas quoi dire dans cet avis, sauf que j’ai tellement aimé. Les manigances sont tellement bien ficelés. Il y a des longueurs sur certains personnages qu’on ne comprend pas forcément mais quand le dénouement arrive, tout paraît clair. La seule chose que je trouve construit de manière un peu trop dramatique c’est les relations amoureuses. Mais bon ce n’est qu une part très secondaire de cette histoire vengeresse. C’est un chef d’œuvre qu’il faut au moins lire une fois dans sa vie. Merci