Le palais des mille vents - Tome 3 La princesse de la taïga : Le livre de Kate McAlistair

Une lecture qui fût pour le moins fastidieuse! Le rythme et lent et le style plutôt ancien, entre romance historique et récit d'aventure. Ce n'est pas un mauvais livre car l'histoire est plutôt chouette mais l'auteure se perds dans des détails inutile et pompeux. En bref, une bonne lecture mais trèèèès longue! #NetGalley

La princesse de la taïga est le troisième tome de la trilogie Le palais des mille vents. L’héritage des steppes présentait la princesse Chali Gaur, héritière de Gengis Khan, déterminée à protéger le Loup bleu. Fabriqué à partir de crins de cheval, cet objet est entouré d’une légende : « pour les peuples kirghizes, l’homme qui aurait cette bannière en sa possession serait capable de rallier toutes les tribus d’Asie centrale à sa cause. » (p. 14) Ce roman était une immersion au sein de la culture mongole, indienne et russe. Les nuits de Saint-Pétersbourg présentait de nouveaux personnages : la famille Vatchenko et leurs fidèles employés. Leurs enfants, Viktor et Aleksei, avaient été élevés comme des frères, alors que le deuxième avait été trouvé. Il était rescapé d’un accident dans lequel ses parents avaient péri. J’avais été ébranlée par les épreuves subies par les Vatchenko et admirative de leur courage. Le dernier opus regroupe les protagonistes et les intrigues des précédents. La première partie est assez courte : elle s’attarde sur l’évolution de Viktor, demeuré en Russie. La suivante nous transporte en Angleterre, en 1871, où nous retrouvons Aleksei, désormais William, dans un cadre bucolique qui tranche avec l’atmosphère sombre de la Russie. Recueilli par un grand-oncle qu’il ne connaissait pas, il a hérité d’un titre de lord et s’est parfaitement intégré à la société anglaise. Pourtant, il reste tiraillé entre ses origines et son présent. « Bien que vivant en Angleterre, depuis plus de 10 ans, il avait encore du mal à accepter l’idée qu’il n’était plus russe, et qu’il ne le serait jamais plus. » (p. 68) Cependant, après une succession d’événements, heureux et malheureux, il accepte un poste de diplomate à Saing-Pétersbourg. Fait-il le bon choix ? Aurait-il dû écouter les avertissements d’un visage du passé ? L’accompagnement de son ami d’enfance, Nikolaï, le rassure. Malgré ses inquiétudes, ce dernier lui est d’une fidélité exemplaire. C’est un personnage à qui je m’étais énormément attachée dans le précédent livre et mes sentiments à son encontre ont grandi. J’ai aimé son dévouement, sa sincérité et son courage. Hélas, ses peurs étaient fondées et les deux hommes sont confrontés à de terribles épreuves. J’ai aimé l’alternance de passages festifs et de récits angoissants, ainsi que le mélange de sentiments merveilleux et d’actes cruels. J’étais traversée par des émotions variées : attendrissement, révolte, peur, admiration, etc. Le suspense préoccupant au sujet des destins était, parfois, adouci, par des épisodes émouvants. J’ai aussi adoré que l’intrigue mêle celles des deux premiers tomes. J’ai d’ailleurs apprécié les rappels du passé qui évitent d’être perdus et j’ai été touchée par de nouveaux personnages, tels que Jala, une jeune princesse kirghize. Elle démontre une intelligence exceptionnelle, un courage admirable et une perspicacité essentielle pour affronter sa destinée extraordinaire. Malheureusement, ses qualités ne suffisent pas face à une horde d’hommes déterminés à lui voler la mémoire de son peuple… J’ai également été éblouie par la description des paysages de la steppe russe. Les images défilaient dans ma rétine, je sentais le souffle du vent, le froid, je me représentais les grandes étendues et je vivais des cavalcades à cheval. Les scènes animales me fascinaient : je volais avec les aigles, observais les loups et vibrais d’amour pour les chevaux. Comme je l’avais déjà écrit dans ma chronique sur Les nuits de Saint-Pétersbourg, il me semblait que chaque phrase générait une sensation ou un sentiment. Je me suis, plusieurs fois, attardée sur cette impression, car elle m’époustouflait. L’écriture est si puissante qu’elle devient un personnage de l’histoire. Une fois encore, j’ai eu un coup de foudre pour ce roman.

Aujourd'hui, je viens vous parler du troisième tome de la saga Le palais des mille vents, la princesse de la taïga de Kate McAlistair. Dans ce roman historique, on suit William, un jeune lord anglais qui a passé son enfance en Russie, suite à la mort de ses parents, mais qui a ensuite dû aller vivre en Angleterre chez son oncle. Difficile pour lui de trouver sa place entre ses deux cultures bien différentes. En quittant la Russie, il a dû abandonner sa famille qu'il aimait tant et notamment son frère "jumeau". Il espère trouver la vie qu'il souhaite en Angleterre mais doit finalement faire face à un mariage raté. Il décide alors de repartir en Russie. J'avais beaucoup aimé le premier tome et encore plus apprécié le deuxième. Pour ce troisième tome, j'ai éprouvé quelques difficultés à rentrer dans l'histoire puis l'intrigue s'est mise en place et j'ai apprécié ma lecture. J'ai néanmoins ressenti quelques longueurs qui je pense ont été accentuées par ma fatigue du moment. Il est préférable de lire les autres tomes avant mais l'auteure ajoute des rappels des tomes précédents ce qui facilite la lecture. Une fois de plus, l'auteure nous fait voyager de l'Angleterre à la Russie avec des personnages hauts en couleur. De l'aventure, de l'amour, des trahisons, des secrets, des rebondissements...de quoi passer un bon moment de lecture. Vous l'avez lu ? Quelle est la dernière saga historique que vous avez aimé ?

Ce dernier tome de la saga « Le palais des milles vents » m’a totalement emporté, je l’ai lu avec @ nous avons débuté notre aventure en Angleterre en 1870 où nous retrouvons William Ashton à Gray Castle, il a rejoins le manoir familial et a été élevé avec amour par un grand oncle trop content de trouver un héritier à leur lignée . Les années ont passé et les deux frères de lait William et Victor sont devenus des jeunes hommes mais la vie et le destin qui auraient pu les rapprocher va se jouer d’eux… William va être poussé par son oncle vers un mariage qui n’aura pas la saveur espérée et Victor se retrouvera face à des choix qui le mèneront très loin de la lumière dans laquelle ils auraient du grandir ensemble … Toujours ce fameux destin et le gouvernement de Sa Majesté vont mener William vers un retour en Russie, un retour en tant que diplomate, un retour ou il nourrit le secret espoir de renouer avec ce frère qu’il n’a jamais oublié… Au menu de ce troisième opus, qui peut se lire indépendamment, - mais honnêtement vous perdriez une partie de la complexité du récit - : amours, trahisons, complots, espoir, amitiés, souvenirs …nous quitterons l’Angleterre victorienne pour les steppes de la Russie orientale et nous vivrons une aventure haute en couleur, une aventure hors du temps …Cette saga est un immense coup de cœur et je quitte à regret des personnages que j’ai adoré, ils m’ont emmené dans ces terres lointaines au travers d’une fresque romanesque entourée de mythes chamaniques et de paysages époustouflants … Et vous l’avez vous lu ? Non? Une plume à découvrir absolument… Mots clés Russie Tsar Barzoï Roman historique Voyage