Le Premier qui meurt à la fin - Édition collector : Le livre de Adam Silvera

Un livre génial ! Comme "Et ils meurent tous les deux à la fin", on est plongé dans l'histoire des personnages. Des personnages attachants et beaucoup d'émotions. Un livre qu'on ne peut plus lâcher avant la fin, mais qu'on n'a pas envie de terminer car on redoute le final... Bref, des livres que je ne peux que conseiller !

Déçue par ce préquel, après avoir énormément apprécié Et ils meurent tous les deux à la fin, et même les autres livres d'Adam Silvera que j'ai pu lire. Dès le début du roman, j'ai été marquée par la vulgarité, l'immaturité et le ton des points de vue des deux personnages principaux, qui ne sont pourtant pas des ados, et l'un d'eux est même aspirant écrivain. Je n'ai donc pas pu m'attacher à ces personnages, contrairement à Mateo et Rufus ; je n'ai pas non plus ressenti tant d'alchimie que ça entre les deux. le peu de révélations est prévisible, la trame scénaristique sans surprise, et je ne comprends pas pourquoi ce préquel fait 200 pages de plus que le roman d'origine pour en dire et en faire ressentir beaucoup moins, et tourner autant en rond. Enfin, on en ressort avec finalement encore plus de questions sur Death-Cast qu'auparavant. Pas un mauvais livre en soi, mais je suis vraiment déçue.

--- « Tant qu’on existe, ça veut dire qu’on respire toujours , et si on respire toujours, ça veut dire qu’un jour on recommencera à vivre »--- Que dire… J’avais déjà adoré «Et ils meurent tous les deux à la fin » mais avec Le premier qui meurt à la fin on est sur le niveau au-dessus. Adam Silvera a, une fois encore, réussi à faire chavirer mon cœur, et à me le briser également. Dans ce roman, on suit l’histoire de Orion et Valentino qui se rencontrent le soir du lancement de Death-Cast. Quand minuit arrive, un téléphone sonne, l’un des deux reçoit LE fameux appel qui lui annonce qu’il va mourir d’ici à la fin de la journée. Commence alors une course contre la montre pour profiter de la première et dernière journée de leur histoire d’amour. J’ai encore une fois été séduite par la plume d’Adam Silvera, je n’ai pas pu lâcher ce livre. Je suis tombée sous le charme des personnages, touchants et attachants, c’est sans doute ça qui a rendu ma lecture si émouvante - j’avoue avoir lâché quelques larmes (c’est un euphémisme bien sûr). Les références au premier livre m’ont également beaucoup touchée, Rufus et Mateo m’ayant également marquée, j’ai beaucoup aimé le fait qu’on les retrouve dans ce livre. En bref, ce livre est une pépite, foncez le lire mais pensez à prendre des mouchoirs #128521;

J'ai finis ce roman en 3jour. Que dire ? Je suis toute bouleversée une fois la lecture de ce livre. J'ai pleuré je ne sais combien de fois. J'ai tour simplement adoré. Ce prequelle est tout simplement magistral, une vrai Masterclass. L'histoire d'Orion et Valentino est aussi magnifique que triste (je ne parle pas de la fin qui est atroce). J'ai beaucoup aimé que tout soit lié avec Et Ils Meurent Tous Les Deux À La Fin, le fait qu'on voit Mateo et Rufus, que plusieurs référence y sont cité... Je ne saurais dire si j'ai préféré celui là à l'original mais ce qui est sur c'est que ce roman est beaucoup plus triste. J'en ressort toute nostalgique. Adam Silvera est un génie. Rien à dire, un chef d'œuvre.