Les Misérables - tome 1 : Le livre de Victor Hugo

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LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Jean Valjean est vivant. Comme vivent Javert, Gavroche, Thenardier, Marius et Cosette. Ils sont entrés dans le panthéon de l'esprit humain et sont devenus nos familiers. Pendant soixante ans, Victor Hugo a mûri ce feuilleton sublime, cette épopée géante de candeur et de générosité populaire, sans doute l'œuvre la plus lue dans le monde.
Quand paraît la première partie des Misérables, en 1862, Hugo écrit : " Ce livre, c'est le siècle, c'est un vaste miroir reflétant le genre humain. Maintenant, je peux mourir. " Cet ouvrage, c'est la réponse de la bonté et de la pitié au crime et au mensonge. Son éditeur l'avait prévenu : lorsque les épreuves sortaient de presse, les correcteurs, bouleversés, pleuraient.

@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE

De (auteur) : Victor Hugo
Préface de : Arnaud Laster

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Expérience de lecture

Avis Babelio

Asmataleb

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 3 mois

Je manque de mots pour décrire ce premier tome qui m'a littéralement absorbée et m'a donné envie de le relire une seconde fois après l'avoir refermé... Impossible de décrocher pendant la lecture. Moi qui a habituellement du mal avec les classiques, je comprends désormais l’engouement autour de ce chef-d’œuvre ; amplement mérité. Et ce qui m'a touchée le plus dans ce premier tome, c'est l'acte de l'évêque envers Jean Valjean. Un ancien forçat et voleur. Alors que tout le monde le méprise et que lui-même, ne croit plus à rien ; ni en l'amour, ni en la bonté, l'évêque lui tend la main de la manière la plus désintéressée qui soit. Même après que Valjean l'ai volé, il ne le condamne pas. Au contraire, il lui donne encore plus. Ce simple geste de l'évêque qui agit conformément à sa foi, est immense et change tout pour Jean Valjean. C'est comme si, pour la première fois, quelqu'un lui disait qu'il avait de la valeur, qu'il pouvait être autre chose qu'un voleur ou un paria. Et il devient après ça, un Homme plein de bonté, qui veut faire le bien autour de lui. Ce moment m'a marquée parce qu'il montre que la bonté et le mal, sont uniquement le résultat des circonstances. Personne n'est mauvais ou bon à la base. C'est la société, les épreuves ou bien une main tendue qui nous façonnent. Ce tome nous fait entrer dans un monde pleins d'injustices sociales mais nous montre aussi qu'un simple acte bon envers un homme, tel qu'il soit peut changer sa vie entière. Un roman à recommander, à lire et à relire !

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memoiresdelivres

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 3 mois

Comment parler de littérature sans appréhender « Les Misérables » de Victor Hugo ? Jean Valjean, Cosette, Gavroche, Fantine ces noms ont marqué à jamais notre imaginaire. De la littérature au cinéma, Les Misérables est une fresque historique et sociale incontournable. Ancien forçat, Jean Valjean tente de réintégrer la société et fait la connaissance de l’évêque de Digne. Si le bagne a exacerbé la bestialité de Jean Valjean et qu’il a perdu espoir en l’humanité, cette rencontre lui montre une nouvelle voie. Quelques années plus tard, son destin le mêne vers Cosette, une orpheline vivant des conditions de vie intolérables auprès des Thénardiers. Cette seconde rencontre va lui offrir un nouveau basculement dans sa destinée. L’amour qui le lie à Cosette contribuera-t-il à sauver son âme ? Dans ce roman, Victor Hugo crée une trame romanesque immense en multipliant les intrigues où s’entrecroisent des personnages incontournables. Cette fresque à la croisée de tous les genres nous permet d’éclairer toute une époque de la bataille de Waterloo à l’insurrection de 1832. Victor Hugo choisit également de combattre par ses mots les injustices et de défendre les opprimés. A travers une œuvre majeure il nous démontre comment la société pousse au crime. Entre les digressions historiques et les positions politiques de Victor Hugo, j’ai été comblée par un des plus beaux romans de la littérature.

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PlumeVive

4.00 sur 5 étoiles

• Il y a 7 ans

Tout le monde a déjà lu un extrait des Misérables ou bien une version abrégée de ce long roman. Cependant lire un extrait (ou même une interprétation plus courte ) ou le roman, n'a rien avoir ! Et c'est ce que j'ai pu découvrir tout au long de cette laborieuse lecture ! J'avais déjà lu " le dernier jour d'un condamné" de cet auteur, ainsi que son recueil de poème "Pauca Maea". Mais aucun des deux ne m'avaient préparé à cette lecture. Je suis, je pense pouvoir le dire une lectrice assez expérimentée ( pas assez sur les classiques sans aucun doute) pourtant cette lecture m'a été par moment très pénible. Et en même temps, je ne voulais pas la lâcher ! D'un côté, nous avons les moments que tout le monde connaît, la scène de l'abandon de Cosette, la mort de Fantine et celle du petit Gavroche. Des séquences célèbres, extrêmement bien écrites. J'en avais les larmes aux yeux vers la fin, avec la mort de Gavroche mais aussi la fin de Jean Valjean. Bref tous les moments que l'on voit dans les films ! Mais à côté, de cela il y a des moments beaucoup plus dures, des moments où Hugo s'adresse davantage à ses contemporains qu'à nous ! L'abondance de détails, de personnages ayant réellement existés, les multiples parallèles qu'il fait avec son époque ! Tout cela est compliqué à suivre quand on n'a pas les connaissances suffisantes! Pareil en ce qui concerne l'époque, je me sentais perdue parfois entre toutes ces dates, ces remarques sur ces temps très troublés, sur les différentes régimes politiques ! De plus, si je le savais pour Zola, je ne savais pas que Hugo lui aussi aimait décrire sous toutes ses coutures ses personnages en début de chapitre/ tome. La toute première sur le père Myriel, m'a intriguée, je me demandais quant allait enfin commencer notre histoire. C'était beaucoup trop long, certains détails inutiles et franchement fatiguant à lire. Et Hugo nous fais la même sur différents sujets : les enfants abandonnés, une bataille, d'autres personnages, les couvents. Ainsi on démarre quasiment toujours par une dizaine de pages de descriptions ! Si pour certains, j'ai réussi à m'accrocher, je pense notamment aux enfants des rues et aux couvents. Pour d'autres, j'ai passé (crime) des pages, sur l'argot par exemple et la bataille. Les misérables font partie de ces romans, que lorsqu'on aime lire semble être un classique. Si je le conseille, car c'est un monument (et une certaine fierté personnelle), je ne peux que vous préciser qu'à moins d'être un "expert" sur cette période, vous risquez d'être assez souvent perdus !

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Fiche technique du livre

  • Genres
    Classiques et Littérature , Littérature Classique
  • EAN
    9782266295901
  • Collection ou Série
  • Format
    Poche
  • Nombre de pages
    864
  • Dimensions
    179 x 110 mm

L'auteur

Victor Hugo

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