Petits meurtres à Endgame : Le livre de Alexandra Benedict

Un cluedo de Noël! J’ai beaucoup aimé l’ambiance cosy et Noelesque de ce livre. Je lui mets un petit bémol car j’ai trouvé le début un peu long à démarrer au regard de la longueur du livre. De plus, j’avais deviné qui était l’assassin alors que je suis bien la dernière à trouver habituellement! C’était donc assez prévisible… Mais le décor planté est agréable, je me suis vite attachée à Lily et j’ai apprécié réfléchir aux énigmes du jeu de l’histoire. Un roman de noël qui change des romances !

Un gros coup de cœur pour ce cosy mystery ! Une lecture addictive et incroyablement bien menée. L’autrice m’a transporté en Angleterre dans un manoir familial : Endgame. Elle nous donne des énigmes, une enquête, des révélations et surtout un jeu sur 12 jours pour obtenir cette propriété. Qui sera le vainqueur ? Et surtout, qui en sortira vivant ? Dès les premières pages, j’ai été happée par cette plume fluide. Elle nous pose le décor, les personnages et leurs histoires. Le ton est donné et les questions fusent ! J’ai pu déduire certaines choses pendant ma lecture. Cependant, quand les révélations sont dévoilées, nous avons plusieurs pièces du puzzle qui s’imbriquent et surtout auxquelles, je n’avais pas pensé. L’autrice nous permet de jouer aussi pendant notre lecture avec deux jeux au début et un à la fin ! J’assume ne pas avoir voulu essayer de faire les jeux, pourtant, j’ai réussi sans le vouloir à répondre à quelques énigmes. Un cosy mystery en Angleterre et en plus addictif, je ne peux que vous le conseiller. Si vous aimez les anagrammes, les énigmes, les secrets, des meurtres alors n’hésitez plus et laissez-vous tenter !

"Petits meurtres à Endgame" d’Alexandra Benedict lu en lecture commune (même si un peu décalée !) avec ma copine Lisa, et quelle aventure ! Ce roman est un véritable concentré de mystères, de secrets de famille, et de jeux de l’esprit. Dès les premières pages, l’autrice nous plonge dans une ambiance envoûtante, celle d’un vieux manoir chargé d’histoire et de tensions. Les descriptions détaillées et l’atmosphère oppressante créent un décor parfait pour une intrigue haletante. L’intrigue repose sur un savant mélange d’énigmes et de drames familiaux. J’ai adoré me creuser la tête face aux casse-têtes parsemés dans le récit. Même si je n’en ai résolu qu’un seul (et je garde lequel pour moi #x1f605), ces énigmes ajoutent une interactivité qui rend la lecture encore plus immersive. Alexandra Benedict a un talent pour nous faire douter à chaque page, retournant nos théories jusqu’à ce final saisissant… et franchement frustrant par certains aspects. Côté personnages, c’est un festival d’émotions. Entre attachement, agacement, et parfois une franche aversion, je suis passée par toutes les étapes. Chacun est travaillé avec soin, apportant des nuances qui enrichissent l’histoire et renforcent les tensions. J’ai particulièrement apprécié la manière dont l’autrice nous balade d’un suspect à un autre, jouant avec nos nerfs. Et puis, impossible de parler de ce roman sans souligner son atmosphère unique : entre les non-dits, les rivalités familiales, et les révélations fracassantes, l’ambiance du manoir devient presque un personnage central. On sent le poids des secrets à chaque grincement de parquet ou ombre furtive. Pour moi, Petits meurtres à Endgame a été une lecture captivante et immersive, impossible à poser une fois commencée. Si vous aimez les romans qui vous mettent au défi tout en vous transportant dans une ambiance mystérieuse, foncez !

Une tante lègue son château au membre de sa famille qui résoudra l’énigme et trouveras les clés, le tout en 12 jours. Les participants cohabiteront et découvriront les mystères entourant leur famille commune. Ce changement de thème pour un cosy m’apparaissait intéressant, mais à mon sens il ne s’agit pas d’un cosy mais plus d’un thrillers Les meurtres s’enchaînent, sans que personne ne paraisse affecté, l’ambiance est sombre, le manoir semble à l’abandon. Lily le personnage principal découvre les raisons de la disparition de sa mère, la relation avec son cousin Tom l’a semblé plus qu’ambiguë. Bref sans tout dévoilé ce ne fut pas une bonne lecture, trop dur pour un cosy or rien de ce qu’on en attend des meurtres avec parcimonie, de l’humour un minimum de thé et de cottage