Reine Rouge : Le livre de Juan Gómez-Jurado

Je decouvre cette trilogie grâce à netflix. D après la bande annonce il ne m en faut pas plus pour me lancer dans ce 1er tome. Un bon polar bien ficelé : enlèvement, enquete, personnages opposé, secret tout est la. L auteur demande à la fin de ne pas spolier la fin je n aurais qu une chose à dire quelle fin. A vous de le lire si vous voulez la connaître.

Premier tome d’une saga en 3 volumes, Reine Rouge nous plonge dans les vies d’Antonia Scott dont l’intelligence dépasse tout ce que l’on peut imaginer et qui n’aspire qu’à une seule et unique chose : qu’on la laisse tranquille ; et de Jon Gutiérrez qui est un flic atypique tant par son physique hors norme que par ses méthodes parfois peu orthodoxes. C’est une rencontre de deux personnalités fortes, blessées mais complémentaires et somme toute assez classique… encore que ! Le scénario : Un adolescent est retrouvé mort dans des conditions étranges et la fille d'un homme richissime est enlevée sans demande de rançon ; deux excellentes raisons d'aller chercher Antonia Scott, une jeune femme dont on n'appréhende mal le rôle. J’ai tout d’abord découvert la série sur Netflix et j’avoue avoir bien accroché avec Antonia et Jon. Cela m’a donné envie d’en savoir plus et c’est ainsi que j’ai découvert qu’il y avait 3 tomes à cette saga. C’est un mélange de thriller et de polar psychologique qui sort un peu des sentiers battus. Cela étant les deux protagonistes sont pour moi le point fort de cette histoire. Antonia Scott, toujours proche du point de rupture et à fleur de peau. Jon Gutiérrez un flic basque, homosexuel au physique hors norme. C’est classique, deux protagonistes aux antipodes mais qui se complètent. Antonia est bizarre mais attachante et Jon est un excellent flic au cœur débordant de bienveillance. En bref, si l'intrigue ne m'a pas totalement fait rêver, les deux héros sont suffisamment hors zone pour me donner envie de découvrir la suite de leurs aventures. L'écriture de l'auteur est très agréable, avec un rythme efficace et direct. C'est différent des polars habituels, et la fin donne envie d'aller plus loin, et puis la différence c'est bien ! Je vous recommande ce premier tome qui met en place les protagonistes et nous ouvre les portes d’une saga prometteuse. Espérons seulement que l’auteur ne cèdera pas à la facilité du succès et saura maintenir le côté non conventionnel de ce roman. Je vous souhaite une atypique lecture #128522; !

J'ai beaucoup aimé les personnages de Jon et Antonia. Jon est un flic gay sous le coup d'une suspension et Antonia est traumatisée par une erreur qui a laissé son mari dans le coma. Peut être quelques invraisemblances mais une enquête très addictive, bien orchestrée et menée tambour battant avec une poursuite en voiture d'anthologie. Une fin magnifique qui laisse apercevoir une suite intéressante.

Pourquoi mon prof de sciences apparaît-il dans ce roman ? #128528;#129300; Non je rigole. Enfin, l'un des deux persos principaux porte quand même son nom, quoi. Et, autant vous le dire, j'aime pas mon prof de sciences #128529;#128514; Bref, c'est pas le sujet... Ohlala, depuis combien de temps est-ce que je ne me suis pas enfiler un bon petit roman policier ? En tout cas, on peut dire que ça fait du bien#128513; Antonia Scott, un personnage un peu bizarre ( nan mais attends, qui réfléchit comme ça #128563;) mais comme dirait le grand Dex, on a tous besoin d'un peu de bizarre dans notre vie. Jon Gutiérrez, petite dédicace à mon prof#128519;. Même si t'es clairement mieux que lui#128514;. J'aime trop le fait qu'il soit compréhensif envers Antonia. La nana, elle a pas la vie facile et c'est super cool de sa part d'être patient. Clara, avec toi ! Oh t'as vu, ça rime #129321;#128514; T'es vraiment pas méchante et je compatis. Et alors là mes cocos, le dénouement ! Incroyable ! Mais, je n'en dirais pas plus, sinon, l'auteur va me taper sur les doigts #128517; En résumé, une super lecture très prenante. On à vraiment l'impression d'être avec les héros et tu veux résoudre le problème. Sur ce, rdv à la prochaine critique #128523;