Ecoute le chant du vent Suivi de Flipper, 1973 : Le livre de Haruki Murakami

"Tout ce que l'on aime et qui déroute chez Murakami - les personnages énigmatiques, l'onirique qui sourd du quotidien... - est en germe dans ces deux courts romans."|Philippe Pons

"Avec une singulière fraîcheur, un sens des dialogues déjà époustouflant, Murakami raconte l'amour naissant de ces deux personnages, dans un texte qui, avec Flipper, 1973, l'autre fiction du recueil, annonce la beauté rêveuse et lunaire des romans à venir."|Didier Jacob

"Ces deux romans sont une excellente initiation à l'univers du fantastique romancier."|Yves Viollier

"Souvent drôles et traversés de fulgurances littéraire, Écoute le chant du vent et Flipper, 1973 doivent se lire en miroir de l'oeuvre à venir [...]. La naissance d'un écrivain."|Adrien Gombeaud

"A chaque fois on est comme envoûté par un quotidien qui semble banal et qui petit à petit se teinte d'une étrangeté inquiétante et fascinante."|Bernard Babkine

"Déjà cet art de faire basculerl e quotidien vers un fantastique vénéneux et troublant. Murakami est le révélateur poétique de notre inconscient."|Bernard Babkine

"Deux courtes histoires, irréelles, oniriques parfois et poétiques souvent."|Jérôme Carron

"[Ces récits] réjouiront les murakamiens - à n'en pas douter, la confrérie existe."|François Montpezat

"Ces deux courts romans sont les premiers écrits de Murakami, prémices d'un talent inouï pour créer un univers dans lequel on se sent bien."|Françoise Feuillet

"On y retrouve avec délectation le réalisme magique et les êtres mélancoliques des romans de Murakami."

"Assez sombres, flirtant avec la philosophie et le fantastique : tout l'univers de Murakami est déjà bien présent dans ces deux romans envoûtants et mélancoliques..."

"Ce qui étonne et réjouit, c'est que le Murakami d'aujourd'hui, si populaire qu'il soit, n'a rien perdu de la liberté revendiquée par le débutant."|Hélèna Villovitch

"On trouve déjà ce que l'on aime chez Murakami : une langue simple et belle, et de petites histoires extraordinaires au coeur du quotidien, quand la fantaisie et le merveilleux se mêlent au réel."

"Les aficionados du plus connu des auteurs contemporains nippons ne manqueront pas ces courts romans écrits sur une table de cuisine."

"Il y a du miracle dans ce recueil. [...] Avec astuce et tendresse, Murakami nous balade dans un univers déroutant, et nous voilà alarmés, dans l'attente, je devrais dire dans le besoin, à nous demander vers quel rêve poétique il va encore nous propulser sans crier gare."|Metin Arditi

"Pour les fans de son oeuvre c'était sûrement le chaînon manquant, pour ceux qui ne connaissent pas encore, c'est la plus merveilleuse porte d'entrée."

"Murakami glisse son humanité et sa douceur dans ces moments kaléidoscopiques qui passent comme des songes. Un premier voyage délicieux."|Jérôme Carron

"Envoûtant, déconcertant, unique."|Jacques Lindecker

"Écoute le chant du vent et Flipper, 1973 sont précieux parce qu'ils sont les premières esquisses où se crayonnent, au fusain, les futures obsessions d'un ange du bizarre nommé Murakami."|André Clavel

"Déjà tout Murakami se trouve dans ces premiers récits : la nostalgie, la solitude, la msuique, des personnages énigmatiques, le destin humain si lent à se mettre en place."

"Il suffit de lire quelques pages pour se convaincre que Murakami était déjà Murakami. Un ton, une écriture, des atmosphères, des personnages, tout est là. La naissance d'un grand écrivain."|Maurice Szafran

"Ces courts romans, réunis en un seul ouvrage, régaleront les aficionados et offriront aux néophytes une belle porte d'entrée."

"Un retour - très inspiré - à la case départ."|Corina Ciocarlie

"Dans ces deux oeuvres, le lecteur retrouvera les thèmes chers à Murakami comme la nostalgie, la solitude et la pop culture."

"Dans la banalité de la vie sociale et la solitude de l'homme moderne, thèmes chers à l'auteur, s'instille l'étrangeté de son oeuvre. [...] Ces récits réjouiront les murakamiens."|François Montpezat

"Ces deux premiers romans contiennent déjà ce qu'on aime dans l'oeuvre de Murakami. Il décrit des personnages détachés, entre désinvolture juvénile et désespoir flottant. La mélancolie nimbe de poésie les scènes du quotidien, mais déjà le fantastique fait son irruption."|Corinne Renou-Nativel

"On retrouve dans ces deux récits les prémices de tout ce qu'on aime chez l'auteur : les personnages un peu en marge, la solitude, les femmes énigmatiques, une certaine mélancolie et, bien sûr, la musique, déjà omniprésente."|Eliane Girard

"Les deux petits romans qui apparaissent aujourd'hui sont des merveilles."|Marguerite Baux

"Ce n'est pas Murakami en moins bien, c'est Murakami sur le seuil de la porte : encore ancré dans le réalisme, avant le grand saut dans l'onirisme des chefs-d'oeuvre à venir."|Marguerite Baux

"Le style est là. Léger, simple et aéré. Dans les deux premiers romans de Murakami, les fondamentaux de l'écrivain se dessinent déjà. [...] Un premier voyage délicieux."

"Dans ces deux premiers romans Haruki Murakami donne surtout à voir la naissance de sa vocation de romancier. Peu de rebondissements, beaucoup de dialogues, savoureux et imprévisibles. [...] Murakami se distingue déjà par l'atmosphère de mystère qui nimbe ses personnages, par ses comparaisons précises et étranges ou par ses sentences. "|David Fontaine

"Décalage existentiel, amours perdues, les deux premiers romans inédits d'Haruki Murakami portent en germe les thèmes futurs du grand écrivain."|Sean James Rose

"Déjà cet art de faire basculer le quotidien vers un fantastique vénéneux et troublant. Murakami est le révélateur poétique de notre inconscient."|Bernard Babkine

"Il a donc fallu trente-sept années pour qu'Haruki Murakami accepte de laisser traduire ses deux premiers romans, en nous offrant une préface pour l'occasion. Il est à noter que ces deux ouvrages ne sont pas des inédits au sens strict du terme puisqu'ils ont été publiés au Japon respectivement en 1979 et en 1980. De plus, on pourra ajouter qu'ils ont été à l'époque immédiatement remarqués, et qu'ils ont donc réellement contribué à lancer la brillante carrière que l'on connaît à l'auteur aujourd'hui. Mais, malgré ces précautions d'usage, il était tentant de se laisser aller à la perplexité quant à ces tardives traductions. L'attaque de la lecture d'Écoute le chant du vent balaye pareilles préventions en quelques pages, tant l'on retrouve le Murakami, même jeune, même aux prémices de son art, qui en quelques phrases, courtes, d'apparence simples, vous embarque loin avec lui, si loin. De quoi s'agit-il ? Il est toujours difficile de résumer un ouvrage de Murakami. Ceux-là ne font pas exception. Disons que nous allons suivre un narrateur qui boit des bières (beaucoup) et fume des cigarettes (beaucoup aussi). Il est accompagné d'un ami qui tient à ce qu'on l'appelle Le Rat, qui, lui aussi, boit des bières avec le narrateur, et qui va se mettre à lire les grands classiques de la littérature mondiale. Il y aura des causeries au bar et des promenades, de la mélancolie et de la poésie, de la surprise, des accidents et de la beauté, de l'amour et du cœur qui se brise, l'ombre d'un auteur américain. Flipper 1973 voit le narrateur devenu traducteur, vivant avec des jumelles qui, un jour, se sont introduites chez lui. Le Rat réapparaît bientôt dans ces jours rythmés par de micro aventures... à la portée si grande. Et voici Murakami en Fante zen, en Carver aérien, qui se dessine page après page sous les yeux d'un lecteur conquis."|STANISLAS RIGOT