Ecrire le désir (Nouvelle édition) : Le livre de Julia Bracher

"Voilà un livre de femmes qui devrait plaire... aux hommes. [...] C'est en fouinant dans les livres de son père que [Julia Bracher] découvre " Venus Erotica ", d'Anaïs Nin. Un choc.
Une émotion qu'elle transforme aujourd'hui en quasi-objet d'art qu'il serait regrettable de cacher dans l'enfer de nos bibliothèques. Non, au contraire, laissons là, bien en vue sur la table basse du salon, cet hommage aux femmes qui assument, avec la même légèreté, leur plume comme leur plaisir."

"Que les esprits chagrins du XXIe siècle comprennent enfin ce qu'est une femme libre."|Valérie Trierweiler

"Coédité par Omnibus et Réunion des musées nationaux-Grand Palais, "Ecrire le désir" - livre d'art superbement illustré qui paraît aujourd'hui - propose un survol de rien moins que deux mille ans de littérature érotique féminine."

"Très belle édition, sur beau papier. Un livre soigné, vers lequel vous aurez envie de revenir, souvent..."

"Ce livre troublant est aussi beau [que] la passion. L'iconographie est abondante et soignée. On ne se lasse pas d'admirer les dessins licencieux, les tableaux gaillards, les photos sensuelles, les images érotiques, souvent plus signifiants que leur apparence immédiate le suppose."

"Au fil des pages, les femmes parlent de l'amour, du plaisir et du sexe. D'abord avec une certaine pudeur puis en toute liberté. De nombreuses reproductions de tableaux, des dessins et des photos accompagnent cette prose souvent brûlante."

"Une anthologie savoureuse qui raconte l'histoire de la volupté et du désir, savamment accompagnée de peintures, de photographies et de dessins."

"Une galerie féminine de fortes têtes, qui surent contourner la censure et la bienséance pour publier leurs textes licencieux."

"Voici un livre qu'aurait apprécié Pierre Louÿs."

"Genre confisqué par les hommes, la littérature leste a pourtant été pratiquée avec talent par les dames. Richement illustrée de tableaux, de vignettes ou de gravures, cette visite dans le domaine du désir féminin a le charme d'une opérette viennoise. Un livre pour table à café ? Ma douce, nous prendrons le café après."