" Colin Harrison brosse un étonnant portrait de New York et entraîne ses personnages dans des aventures où l'on croise des truands, une femme d'affaires troublante, des hommes en mal de paternité, une vieille dame indigne. Il joue avec maestria des situations les plus incongrues en maintenant en permanence un juste équilibre entre comédie et roman noir. "
Gérard Meudal - Le Monde des Livres
" On reçoit ce roman comme un coup de poing en pleine figure [...]. Avec un grand talent, beaucoup d'humour noir et un sens du tragique peu fréquent, [Colin Harrison] se sert du roman noir pour nous proposer un tableau halluciné de l'Amérique de Bush. Un monde en trompe-l'œil, où la réussite de quelques-uns cache la misère d'un très grand nombre. Un univers où règnent la combine, le mensonge, l'ambition, la débauche et la criminalité en col blanc. Tout cela donne un roman très fort, élaboré avec la matière dont sont faits nos plus effrayants cauchemars. "
Nancy Dolhem - Le Monde Diplomatique
" Colin Harrison démontre une imagination époustouflante, un sens du tragique et du suspense unique. "
Philippe Lemaire - Le Parisien
" Les lecteurs [...] auront de la peine à s'arracher de ce délicieux cauchemar ! "
Pascale Frey - Elle
" Une pièce maîtresse impossible à lâcher de la première à la dernière page. "
Brigitte Hernandez - Le Point
" Suspense, violence, sexe, argent, mort : si tous les ingrédients du thriller sont ici réunis, Havana Room dépasse largement les limites du genre. Et livre de New York une vision sombre, désenchantée, angoissante, où les losers sont condamnés sans appel. "
Delphine Peras - France Soir
" Colin Harrison signe un roman noir à l'atmosphère poisseuse, un portrait sans concession du New York souterrain, gangrené par le clientélisme et le chacun pour soi. Il s'attarde, délaissant parfois l'action pour de subtiles digressions, teintées d'un humour froid, qui loin, de nuire à l'intrigue, en font toute la saveur. "
Christine Monin - La Vie
" Avec ce polar palpitant et vertigineux porté par un style étincelant, Colin Harrison s'impose comme un des grands écrivains du New York de l'après 11 Septembre. "
Philippe Blanchet - Zurban
" Dans un style lumineux, Colin Harrison ouvre des portes surprenantes pendant plus de 450 pages. Rien n'est prévisible, tous les genres, du drame au policier en passant par la comédie, se côtoient avec bonheur [...].Un chef d'œuvre de divertissement à découvrir sans tarder. "
Pierre Gabriel - Le Nouvel Economiste
" Un thriller envoûtant. "
L'Expansion
" Un roman noir, où la démesure de New York, le désespoir de ses habitants, la fulgurance des rêves de pouvoir, tiennent le haut du pavé. "
Avantages
" Œuvre envoûtante, ce thriller flirte avec le fantastique et consacre définitivement son auteur comme un maître du genre. "
Mareva Saravane - Télé 2 semaines
" Un suspense haletant à travers les rues glauques de Big Apple [...]. Il est assez rare de fermer un polar en ayant le sentiment d'avoir à la fois passé un bon moment et d'être plus intelligent qu'avant. "
Claude Keiflin - Les Dernières Nouvelles d'Alsace
" Subtilement construit, ce cinquième roman impose un rythme qui suinte l'angoisse, alternant dialogues incisifs et descriptions nécessaires. [...] New York monde trouble et fascinant, qui oscille sans cesse entre attraction et répulsion, qui surtout nourrit Colin Harrison de ses âmes perdues. "
Eric Blaise - La Voix du Nord
" Un roman magistral, violent avec pour toile de fond New York, la ville de tous les excès. "
Thierry de Lestang - L'Union
" Dans Havana Room, Colin Harrison raconte magistralement la descente aux enfers du protagoniste de ce polar sulfureux et excitant. Cinq cents pages formidablement rythmées ! "
Jean-Pierre Gattoni - Le Matin (Suisse)
" Voilà un roman noir comme on aimerait en lire plus souvent. Dense, surprenant, intelligent. Un roman qui non seulement tient en haleine, mais a du souffle et, cerise sur le gâteau, possède une véritable dimension littéraire. "
Manuela Giroud - Le Nouvelliste (Suisse)
" Les dialogues percutants sont une des grandes réussites de Colin Harrison. C'est avec un rare talent qu'il crée des personnages fascinants, perdus dans une société américaine empoisonnée par l'argent et le pouvoir. "
Los Angeles Times
" Harrison est à New York ce que Chandler et Ellroy sont à Los Angeles : un remarquable peintre des bas-fonds de la ville, gangrenés par l'ambition, la débauche et la criminalité. En maître de l'atmosphère, il nous livre un New York de film noir : une ville familière qui est aussi la scène de nos pires cauchemars. "
New York Times
" Avec son intrigue au rythme soutenu et ses images choc, Havana Room évoque les meilleures bandes dessinées. Un roman plein d'énergie ! "
New York Times Book Review
" Un roman à dévorer ! "
Herald
" Une narration envoûtante et une écriture tout en finesse. "
Publishers Weekly
" Famille, sexe, drogue, mort... ce brillant thriller explore les obsessions de l'homme mûr à travers des personnages très attachants, plongés dans des situations extrêmes. "
Kirkus Review
" Terrifiant, mais tellement irrésistible ! "
People
" C'est le sombre Manhattan qui nourrit l'imaginaire de Colin Harrison. Manhattan et son mélange enivrant de sexe, d'argent, de violence et de vanité. Avec un sens du tragique digne de Gatsby le magnifique et l'humour noir du Bûcher des vanités, Harrison nous emmène au cœur de la ville, un cœur palpitant. "
USA Today
" En trois romans, Colin Harrison s'est imposé comme le maître d'un genre à part : le thriller new-yorkais intelligent. [...] Il existe bien des façons d'écrire un thriller. Harrison se démarque du roman noir traditionnel par une approche narrative plus chaleureuse et un ton presque entièrement dénué de cynisme. Derrière l'attitude machiste, brevetée par Hammett et Chandler, se cache un certain romantisme. "
Sun-Sentinel
" Havana Room est le livre le plus intriguant de Harrison, le récit fascinant d'un homme désespéré et de son désir de préserver la normalité. L'auteur campe magistralement des personnages décalés et touchants, entraînés dans une intrigue pleine de rebondissements. Une histoire palpitante de sacrifice et de rédemption. "
Bookpage
" Havana Room est une porte dérobée vers l'enfer. Pas l'enfer stéréotypé et sa fournaise rougeoyante, mais celui de la transaction qui tourne mal. Un endroit où la souffrance est conçue sur mesure pour l'homme prospère d'âge mûr, et où résonnent les pas tourmentés d'Updike et de Cheever. En véritable virtuose, Harrison sonde l'âme humaine à travers son personnage imparfait, Bill Wyeth. Celui-ci se rend compte qu'il a toujours été irrité par le confort de son existence. Mais il ne se coupe jamais vraiment du monde. Il reste connecté à une réalité crue, étrange, triste et parfois effrayante. "
Star Tribune