Il était une fois en Amérique : Le livre de Harry Grey

Pendant la lecture de ce très bon roman j'ai pensé à ce début de chanson de Jean Jacques Goldman : J'me sortirai, j'me le promets / Et s'il le faut, j'emploierai des moyens légaux. Et bien le roman raconte comment le "héros" s'en sort mais il emploie des moyens illégaux. Un père qui ne travaille pas, mais qui est toujours à prier au Temple, donc l'argent qui n'arrive pas. Et quand on peut gagner la somme qui permet d'avoir l'électricité pour la semaine suivante, on ne regarde pas trop d'où vient l'argent, on sait juste que la maman sera contente. Et c'est ainsi, de petites magouilles en petites magouilles qui deviennent plus grandes on rentre dans la Coalition (la mafia de l'époque) avec ses amis d'enfance. Les quatre copains ne deviennent pas des parrains, mais plutôt des porte flingues qui travaillent pour apporter de l'alcool pendant la prohibition. Quand je dis "travail" ils protègent les convois, où tuent des personnes qui leurs ont été désignées. Et avec ces "contrats", on gagne bien sa vie, même si on sait que celle-ci peut-être courte. Ils ne deviennent pas des décideurs. Je ne vous dis pas comment cela se termine, cela gâcherai la lecture.