La confiance en soi - Une philosophie : Le livre de Charles Pépin
Cultivez les bons liens
Entraînez-vous
Écoutez-vous
Émerveillez-vous
Décidez
Mettez la main à la pâte
Passez à l'acte
Admirez
Restez fidèle à votre désir
Faites confiance au mystère
En puisant dans les textes des philosophes et des sages, dans les travaux des psychanalystes et des psychologues, mais aussi dans l'expérience de grands sportifs, d'artistes ou d'anonymes, ce livre éclaire le mystère de la confiance en soi. Et nous montre le chemin pour avoir davantage confiance en nous.
De (auteur) : Charles Pépin
Expérience de lecture
Avis des libraires
Avis Babelio
Ludivine78
• Il y a 1 mois
Un livre à partager avec tous, ceux qu'on aime et ceux qu'on aimerait bien dans leur peau. Un petit precis fondamental pour aider tous les humains à passer les caps difficiles de l'adolescence. Ensuite,un livre de chevet. De la philosophie mais aussi une methode.
Groanbeck
• Il y a 1 mois
Un livre qui vaut surtout pour la qualité de ses citations. La confiance en soi engage notre rapport à l'action, notre capacité à "y aller" malgré les doutes. Les livres de Charles Pépin ne sont pas désagréables à lire mais ils sont vite oubliés...
Takalirsa
• Il y a 1 mois
Je continue mon travail de réflexion sur moi-même avec cet essai sur la confiance. La confiance (ou au contraire le manque de confiance), trouve souvent son origine dans l’enfance : « Le jeune enfant est aimé pour ce qu’il est et non pour ce qu’il fait. Voilà le socle le plus solide de la confiance qu’il aura plus tard pour lui-même » (p.16). D’où l’importance des « interactions précoces » qui apportent « la sécurité intérieure » (ou pas). Charles Pépin fait référence aux écrits de Boris Cyrulnik, et il est temps que je lise « Les nourritures affectives » ainsi que « Les vilains petits canards », dans ma PAL depuis trop longtemps. Décider, c’est trouver la force de s’engager dans l’incertitude, « de réussir à y aller dans le doute, malgré le doute » (p.90). Cette difficulté est celle de la vie même : « Parce que nous sommes des êtres libres, parce que nous ne sommes pas des machines programmées, il nous faut accepter une part irréductible d’incertitude ». Même si nous réduisons le risque au maximum, il en restera toujours. Nous avons eu confiance en notre capacité à mettre un pied devant l’autre, à faire du vélo. Nous avons confiance en notre capacité à nous repérer dans une ville étrangère, à engager la conversation, à exprimer notre désaccord… « Et puis un jour, nous avons confiance en nous. C’est ce que j’appellerais le saut de la confiance en soi. » (p.44) Les grands professeurs vous propulsent dans l’aventure de l’existence : ils vous donnent des armes pour oser être vous-mêmes. « Écoutez vos professeurs : ils vont vous apprendre à vous écouter. » (p.61) Rien de mieux que le plaisir pour développer ses compétences et gagner en confiance. Les « jouisseurs » sortent d’une stricte logique de compétence et gagneront plus tôt une confiance en eux, et ce, pour une raison simple : leur plaisir leur permet de relativiser et d’être plus relâchés (p.45). « S’ils se trompent, ils se seront au moins amusés. Et d’ailleurs, ils se trompent d’autant moins qu’ils prennent du plaisir dans leur travail » (ou leur activité). La compétence se mue donc plus facilement en confiance lorsqu’elle nous permet de progresser dans la connaissance que nous avons de nous-mêmes. Serena Williams, par exemple, a compris qu’elle faisait partie de ceux qui se révèlent dans l’adversité. Il convient de distinguer « choisir » et « décider » (p.92). Choisir repose sur des critères rationnels (« Savoir avant d’agir »). Décider, c’est compenser l’insuffisance de ces critères par l’usage de sa liberté (« Agir avant de savoir »). Ne pas utiliser notre pouvoir de décision revient à faire de sa vie une suite de non-choix. Il n’y a pas de confiance en soi sans une maîtrise de l’art difficile de la décision. Nous sommes paralysés par l’incertitude parce que nous oublions combien la vie serait terne si tout était certain, prévisible. (p.95) N’ayons pas peur de passer à l’acte car « ne pas réussir à essayer induit peu à peu une perte de confiance. Ceux qui tentent prennent peu à peu confiance en eux, même s’ils ne réussissent pas à surmonter la difficulté. Avoir tenté, s’être lancé, c’est déjà un motif de fierté. » (p.125). L’école française est une école de classements, de rangs : « Elle insuffle aux enfants l’idée que leur valeur se mesure non pas par rapport à eux-mêmes mais par rapport aux autres. » (p.150). Dans toutes les scènes d’enfance, c’est la comparaison qui nous fait souffrir. Au final, avoir confiance en soi, ce n’est pas être sûr de soi (p.184). « C’est trouver le courage d’affronter l’incertain au lieu de le fuir. ». Affronter l’incertain en restant fidèle à soi, fidèle à sa cohérence intérieure.
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• Il y a 2 mois
La confiance en soi est un livre à lire dans toutes les situations : une rupture, un échec, une naissance, une rencontre. Toutes les raisons sont bonnes pour comprendre d’où vient cette confiance et comment la retrouver si nous l’avons perdue. Ce livre est un hymne à la vie, un pansement sur des cœurs abîmés ou un nouveau souffle pour celui qui souhaite vivre libre et heureux.
Avis des membres
Fiche technique du livre
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- Genres
- Classiques et Littérature , Essais
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- EAN
- 9782266313568
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- Collection ou Série
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- Format
- Poche
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- Nombre de pages
- 176
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- Dimensions
- 179 x 110 mm
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8,10 € Poche 176 pages