La Réfugiée : Le livre de Rabih Alameddine

"Spectaculaire."

" Un roman puissant et merveilleux. [...] Une méditation sur la perte, la résilience et l'amour. [...] Un triomphe. "

" Une vision juste des multiples facettes de la crise des réfugiés. "

" Une histoire multi-facettes et singulière qui utilise l'humour pour aborder une crise humanitaire, et qui fait le lien entre l'envie de témoigner et la reconnaissance de l'inutilité de le faire. "|Mark Athitakis

" Personne n'écrit de fiction qui soit plus proche de la vraie vie que ce conteur-né... Attirant et troublant à la fois. "

" La grande force du dernier roman d'Alameddine réside dans la façon dont il combine habilement le biographique et l'historique : les petits moments les plus personnels sont souvent ceux qui ont le plus de poids. Un récit remarquable, étonnamment intime, sur les liens humains au milieu d'un désastre. "

" Un kaléidoscope changeant, une collection de moments - drôles, dévastateurs, absurdes - qui témoignent de la violence de la guerre et des déplacements sans les sensationnaliser... Au centre vide de tout horizon est un témoignage magnifiquement écrit, sombrement drôle et rafraîchissant. "

Un livre magnifique, bien rythmé, enragé, drôle et déchirant.

"Mon roman préféré cette année ? Au centre vide de tout horizon de Rabih Alameddine. Dévastateur et merveilleux. Personne n'écrit comme Rabih."

" Ce roman intelligent et solaire balaie par sa justesse et son humanisme tous les discours gorgés de haine, de préjugés, ou de bien-pensance, et rappelle, s'il le fallait, qu'il reste toujours là-bas nombre de victimes de la guerre, qui ne le sont pas moins que d'autres. "

" L'hétérogénéité de ce texte, d'une époustouflante liberté, n'est qu'apparente. Tout, dans La Réfugiée , parle d'exil : les lieux détruits ou sauvés du désastre, les objets emportés ou abandonnés, les destins de ceux qui sont partis, mais aussi de ceux qui sont restés dans leur Proche-Orient méconnaissable. "

" Ces témoignages, d'une patente véracité, enchâssés dans l'histoire de Mina, Proche-Orientale échouée sur la Côte ouest américaine, et dans celle, évoquée en creux, de l'écrivain sans nom autre émigré levantin en Occident, composent, entre reportage littéraire et fiction, un texte audacieux tout en contrastes et ruptures."

" Si terribles et si lourds soient les destins de ces réfugiés, le propos de Rabih Alameddine met surtout en lumière la solidarité, l'amour, la résilience. "

" Roman explosé en mille directions spatio-temporelles, traduit dans sa forme ce qu'il emprunte au monde où il a vu le jour. "

"Un roman époustoufflant"