Le Premier qui meurt à la fin - Édition collector : Le livre de Adam Silvera

Grand format

Robert Laffont

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La préquelle du best-seller phénomène Et ils meurent tous les deux à la fin, en édition collector.
Aux origines de Death-Cast, la journée inoubliable de deux inconnus décidés à vivre leur vie à fond malgré l'ombre de la mort.

" Ne cherchez pas à comprendre comment nous savons que vous allez mourir, concentrez-vous plutôt sur votre manière de mener à bien votre existence. "

New York, la veille de la mise en fonction de Death-Cast...
Orion Pagan vit dans la crainte de mourir, il s'est inscrit à Death-Cast pour cesser d'avoir peur.
Valentino Prince vient juste de s'installer à New York prêt à mordre la vie à pleines dents.
Lorsque Orion et Valentino se croisent à Times Square, c'est le coup de foudre. Mais les premiers appels de Death-Cast commencent à tomber, bouleversant leur vie : l'un a reçu l'appel, l'autre pas.

De (auteur) : Adam Silvera
Traduit par : Cécile Ardilly, Fabien Leroy

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Expérience de lecture

Avis Babelio

madisonbooks

3.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 ans

une déception.. un livre qui reste assez sympa mais qui ne vaut pas le coup. je ne vois pas et ne comprend pas la pertinence de ce roman. j'ai trouvé la romance surfaite, ayant déjà lu "et ils meurent tous les deux à la fin" qui était vraiment bien, j'ai trouvé que celui ci était une redite.

Gally81

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 ans

Prequel de son best-seller, Et ils meurent tous les deux à la fin, Adam Silvera repart dans ce monde parallèle au nôtre où l’on peut connaître le jour de sa mort, 24 heures avant qu’elle ne survienne « J’ai le regret de vous informer qu’à un moment donné dans les prochaines vingt-quatre heures, vous allez être frappé par une mort prématurée. » Voilà comment le fondateur de la société Death-Cast a, le 31 juillet 2010 à minuit, passé le premier appel pour annoncer à un Américain qu’il allait mourir. Avant de passer la main à ses «  standardistes  » chargés d’appeler, à travers tout le pays, tous ceux pour qui la vie ne se compte plus qu’en heures. Le préquel d’Adam Silvera est là pour retracer cette première journée de « mise en place de ce service  ». Plutôt glauque, certes. Mais qui permettra aux « heureux » inscrits de profiter au mieux du peu de temps qu’il leur reste. Le fondateur de la société, Joaquin Rosa, est persuadé que cet appel est d’utilité publique et que Death-Cast changera le monde et la façon de vivre de ses habitants. Peut-être pas pour celui qui verra le nom de la société affiché sur son portable ! Comme dans le premier roman, pas de suspens, tout est dit dans le titre. La mort est là, elle attend, les seules inconnues sont les circonstances et l’heure du trépas. En 2017, on suivait Rufus et Matteo qui avaient reçu l’appel fatidique. Deux inconnus seulement liés par l’inévitable et qui ont laissé espérer à des milliers de lecteurs que la fin serait différente. En cette année 2010, premier jour de Death-Cast, ce sera Orion et Valentino. Le premier souffre d’une malformation cardiaque, épée de Damoclès suspendue au-dessus de lui. Le second a quitté son Arizona natal pour New York, rejeté par ses parents trop croyants pour accepter son homosexualité. L’un recevra un appel de Death-Cast et l’autre pas. Mais tous les deux, alors qu’ils ne connaissaient pas, se soutiendront pendant ce compte à rebours morbide. Les heures s’égrènent et la toile d’araignée se tisse entre les personnages. Orion, Valentino et tous ceux qu’ils vont croiser. Des actions anodines qui prennent petit à petit leur sens. Un roman où tout tourne autour de la mort, à la fois émouvant et déstabilisant, car on ne peut s’empêcher de se demander quelle serait la dernière chose que l’on voudrait faire s’il ne nous restait, au mieux, 24 heures à vivre. Si on est toujours autant séduit par le style de l’auteur, on peut tout de même regretter quelques longueurs. Adam Silvera prend son temps pour mener le lecteur jusqu’au terminus, multipliant les clins d’œil vers le premier livre. Une virée à New York de 600 pages qui joue horriblement avec nos nerfs.

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juanaaaa7

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 ans

Une histoire bien menée, belle. Des personnages attachants !! Des sujets traités importants... J'ai adoré par rapport au premier le fait de suivre des personnages au delà des deux principaux. Les retournements de situations auxquels je ne m'attendais pas m'ont fait encore plus aimé ce livre. En bref, lisez le, il est beau, poétique, touchant.

Artemissia

4.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 ans

Je vais vous avouer un grand secret (ou pas), mais je n’ai jamais lu un roman d’Adam Silvera. Pas même son grand succès dont est issue cette préquelle. Alors avec cette sortie, je me suis dit qu’il serait bien et temps que je remédie à cette lacune. Tout à fait entre nous, je ne regrette pas cette lecture. D’ailleurs, après avoir fini celle-ci, j’ai été voir sur internet ses autres œuvres. Parce que, j’ai beaucoup aimé la plume d’Adam Silvera et la sensibilité qu’il y a derrière ses protagonistes. Même si on suit plusieurs personnages qui feront les temps forts du récit, comme en ce qui concerne le créateur du Death-Cast par exemple. Bien sûr nous suivons essentiellement et surtout Orion et Valentino qui vont se rencontrer le soir du lancement de ce projet plutôt morbide et funeste. Comme je n’ai pas envie de vous spoiler l’histoire, sachez que c’est un récit loin d’être triste malgré ses propos. C’est même, en quelque sorte, une ode à la vie, à la liberté et aux différences. C’est ce que j’ai ressenti durant cette lecture. L’histoire entre Orion et Valentino, leur romance pour être plus exacte, est belle, même si, je l’avoue, parfois j’avais beaucoup de peine pour eux. Parce que, dans un sens, c’est très injuste. Surtout quand on connait le dénouement à l’avance. J’ai eu beaucoup d’émotions lors de cette lecture#8201;! Même si, justement on ne sait rien de comment fonctionne ce «#8201;Death-Cast#8201;» et que ce n’est pas le propos, moi, j’avais très envie de savoir#8201;! Mais, ici, c’est avant tout centré sur la résilience, sur la manière dont l’être humain avance même au dernier jour de sa vie, son «#8201;Jour Final#8201;». Cela aurait pu être pathétique, mais c’est loin d’être le cas. La façon dont la trame est mise en place et les aventures que vont vivre nos héros, cela me fait plus penser à une comédie de fin d’année avec le décompte du Nouvel An. Parce qu’on fond, c’est ce que fêtent nos personnages, un nouveau départ, une nouvelle vie. Malgré quelques longueurs, j’admets avoir lu cette préquelle avec beaucoup de plaisir et d’émotion. Orion, Valentino, mais aussi Dalma, Scarlett ou bien encore Gloria ou Rolando… autant de personnages qui auront su m’accrocher à leur parcours, parfois bien difficile. Au fond, Le premier qui meurt à la fin est une belle romance, un hymne à la vie, la résilience et c’est sans doute tout ce qu’il faut retenir de cette histoire.

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Fiche technique du livre

  • Genres
    Ado & Young Adults , Romans adolescents 13+
  • EAN
    9782221269275
  • Collection ou Série
    Collection R
  • Format
    Grand format
  • Nombre de pages
    600
  • Dimensions
    225 x 148 mm

L'auteur

Adam Silvera

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23,00 € Grand format 600 pages