" Malin comme un singe, très à l'aise dans la peau et le cerveau d'une femme, Douglas Kennedy a décidé de ne pas en rester là, mettant en branle une mécanique romanesque dont il a le secret. "
Alexandre Fillon - Livres Hebdo
" Il brosse un portrait social pointu sans jamais oublier son intrigue, faisant grimper la tension romanesque, maniant l'humour et le mauvais esprit grave à une écriture volubile et discrète à la fois. Son récit conjugue le plaisir immédiat du thriller et la réflexion politique incisive : une bonne définition du roman populaire. "
Christine Ferniot - Télérama
" Douglas Kennedy incarne une exception littéraire : les romanciers capables de questionner le monde tout en le divertissant. [...] Avec un talent rare, il vient de transposer Madame Bovary dans l'Amérique de George W.Bush. Et le résultat est exceptionnel. [...] Il s'inspire d'une oeuvre mythique pour accoucher d'un livre splendide, palpitant, au suspense soigneusement dosé, et qui égratigne avec de beaux arguments les fariboles nationalistes et bien-pensantes aboyées par les néo conservateurs de la Maison-Blanche. "
François Busnel - Lire
" Sa féroce force de frappe réside dans une maîtrise parfaite de la mise en scène, de secs petits détails en épouvantables machinations, et, ô délicieuse horreur ! de l'analyse du laminage jusqu'à la destruction d'une personne. Une belle toile d'araignée empoisonnée. Comme toujours chez lui : le banal, la chute, la lutte...Ajoutons une plume qui ne se regarde pas écrire, un sens du dialogue sans failles. "
Brigitte Hernandez - Le Point
" En imaginant une Madame Bovary made in America, Douglas Kennedy dresse un portrait acide et lucide de son pays. "
André Clavel, L'Express
" Douglas Kennedy n'apporte pas de réponses [ à ses questions] : trop romancier pour être moraliste. Mais la griserie qu'il donne à ses lecteurs permet à ceux-ci d'aiguiser leur lucidité. Une griserie lucide : ce n'est pas si courant. "
Stéphane Hoffman - Le Figaro Magazine
" On dévore cette version américaine de Madame Bovary d'un seul trait, fasciné par le piège diabolique que le romancier a tendu à son héroïne. Bluffé, aussi, de voir qu'au-delà d'une intrigue, habillement menée, l'écrivain réussit à pointer du doigt la terrible impasse dans laquelle son pays est, selon lui, tombé. "
Bruno Corty - Le Figaro
" Avec une acuité sidérante, Douglas Kennedy capte ces disputes où on lâche le mot de trop, ces malaises qui s'éternisent. [...] Avec cette intrigue diabolique, l'écrivain signe, de loin, son meilleur roman. Grave et léger, tragique et souriant, comme la vraie vie. "
Philippe Lemaire - Le Parisien
" Que le roman soit l'un des plus sûrs moyens de connaître de l'intérieur un pays, une époque, un climat idéologique ou moral, c'est là son charme peu discret. Merci à Douglas Kennedy d'illustrer une fois de plus cette évidence ! "
Frédéric Vitoux - Le Nouvel Observateur
" Un Kennedy au mieux de sa forme. "
Alexis Liebaert - Marianne
" À travers la voix d'une femme qui fait le choix d'une vie sans risque et en paie le prix trente ans plus tard, Kennedy brosse le portrait d'une Amérique amnésique qui cherche parfois son identité dans la foi "
Karine Papillaud - 20 Minutes
" Une véritable fresque où se dévoile l'ordinaire de l'Amérique contemporaine aux prises avec ses mutations, ses maux et ses aspirations. Le pari était ambitieux. Douglas Kennedy le réussit avec maestria. "
Nathalie Cottin - DS
" Au-delà des banalités sur le conflit de générations, Douglas Kennedy s'intéresse à la complexité des rapports parents enfants, et surtout à la terrible hérédité des drames familiaux. Une tragédie proprement racinienne, sans alexandrins, et avec l'humour corrosif d'une Zadie Smith. À lire, puis à mettre immédiatement entre les mains de votre mère. "
Yann Perreau - Glamour
" Servie par de formidables personnages secondaires et un irrésistible mélange d'amertume et d'humour, cette peinture du couple moderne parle à tous "
Le Parisien
" Une plume superbe, un conteur hors pair, des dialogues brillants, Douglas Kennedy poursuit son œuvre. Une œuvre consacrée à la radiographie sans concession de l'Amérique moyenne. Une oeuvre qui, de livre en livre, pourrait bien devenir majeure. "
Laurent Fialaix - Questions de femmes
" Portrait sans concession d'une nation puritaine, hypocrite et moraliste. Chasse aux sorcières, fanatisme religieux, bonne conscience exacerbée, c'est l'Amérique du procès Clinton qui est dépeinte. Édifiant, fascinant, avec en prime le talent de Douglas Kennedy ! "
Valeurs Actuelles
" Un roman épatant signé par un auteur déjà culte. "
Gala
" Douglas Kennedy explore une fois encore le cœur des femmes avec une pertinence déconcertante. Comment diable fait-il ? "
Brigitte Kernel - Femme Actuelle