Les désarrois de Ned Allen : Le livre de Douglas Kennedy

" Emporté par une intrigue remarquablement ficelée, le lecteur s'amuse à ce portrait à la David Lodge du petit monde des yuppies [...]. Frémit à cette peinture au vitriol du parcours du combattant quotidien auquel se soumettent les héros, bons soldats de l'entreprise moderne et performante. S'angoisse au démontage implacable de l'extrême violence d'un système broyeur de vie. Douglas Kennedy réussit à faire passer ses lecteurs par toutes les couleurs de l'émotion. Roman de mœurs, impeccable thriller, comédie noire, conte moral, Les Désarrois de Ned Allen est aussi drôle que terrifiant. "
Michel Abescat - Le Monde

" Ceux qui ne connaissent pas encore Douglas Kennedy vont découvrir, avec lui, un frisson qu'ils n'avaient jamais eu auparavant. Garanti. "
Stéphane Hoffmann - Madame Figaro

" D'un cauchemar banal et actuel, Kennedy fait un thriller [...]. Il sait nous prendre par les sentiments humains et nous inviter à partager, jusqu'à la dernière page, l'abominable panade où se débat son héros. "
Valérie Lejeune - Le Figaro Magazine

" Douglas Kennedy est juste l'un des écrivains les plus agiles dans la description de l'Amérique des yuppies des années en cours [...]. Personne depuis McInerney [...] n'avait su aussi parfaitement tirer le portrait de ces jeunes bourgeois urbains sur-actifs. [...] Le thriller social fonctionne à plein régime et le lecteur, de spectateur, devient un voyeur apeuré de la déchéance qui l'attend s'il veut, lui aussi, aller trop vite. "
Pierre-Louis Rozynès - Livres Hebdo

" Derrière la critique du fric pourri et de la compète sociale, on découvre un vrai thriller implacable. "
Christophe Tison - Cosmopolitan

" Drôle, haletant, pour tout dire, parfaitement efficace. "
Patrice Delbourg - L'Événement

" Avec ses dialogues brillants et son humanisme social, Kennedy poursuit la radiographie de l'Américain moyen entamée par Sinclair Lewis dans Babbit et révèle une haute et légitime ambition. "
Pierre Billard - Le Point

" Un livre délectable et tellement bien ficelé qu'il ne nous laisse aucune seconde de répit. [...] Essayez et vous verrez : vous entrerez, immédiatement, dans le club des "Kennedy's groupies' ! "
Pascale Frey - Elle