Les Éclats : Le livre de Bret Easton Ellis

J’aime beaucoup Bret Easton Ellis, mais je l’avoue, les 900 pages me faisaient un peu peur #x1f631 J’ai tout de même bien fait de me lancer, car je n’ai pas été déçue. Cette lecture qui m’a parfois un peu déstabilisée, mais c’est souvent l’effet que me fait l’écrivain. Nous avons ici un roman qui mélange auto-fiction et thriller. L’auteur brouille les frontières et joue avec notre perception des événements. Le récit nous plonge dans la jeunesse dorée des années 1980 à Los Angeles, un monde sans limites et presque sans contraintes parentales, où règnent s*xe, drogue et alcool #x1f378 #x1f48a Un tueur en série, surnommé « le Trawler », fait des ravages, ajoutant une couche de terreur à cette époque de luxe et de désinvolture. Le thème de l'homosexualité #x1f308 et la quête identitaire des adolescents sont centraux, tout comme la vie dans une prestigieuse école privée. On retrouve les thèmes récurrents de Bret Easton Ellis : -matérialisme,superficialité -violence -vide existentiel - consommation excessive d'alcool et de drogue. #x1f378#x1f48a Ce n'est pas un coup de cœur #x1f494, mais tout de même une bonne lecture. J'ai trouvé la première partie un peu trop longue et les scènes de sexe trop nombreuses et trop détaillées. La deuxième partie, plus thriller, m'a davantage captivée.

Je me suis lancé dans ce roman avec curiosité, j’avais vu des avis absolument dithyrambiques comme des avis assassins … 900 pages … ça fait peur à certains, je peux le comprendre. Ah punaise je me suis régalé ! 1981. Los Angeles Bret Easton Ellis est un lycéen de 17 ans scolarisé en terminale dans une des écoles les plus prestigieuses de Californie. Adolescence dorée rythmée par la drogue, le sexe et le rock … Une insouciance qui va vite être balayé par l’arrivée d’un nouvel élève, Robert Mallory. Beau comme un dieu, poli, gentil, il a tout du genre idéal … mais Bret le sent pas, un truc cloche avec ce mec. Au même moment, des jeunes filles disparaissent … des corps refont surface … des événements étranges viennent perturber la petite vie tranquille de Bret. On est sur un thriller mais pas que … on est vraiment dans une intrigue qui était quasi hypnotique, flirtant avec une sorte de paranoïa exacerbée par les substances ingurgitées par nos personnages. Hyper malaisant, certains passages m’ont clairement mis à mal, j’étais vraiment en mode «  attends attends … mais quoi ?? » L’auteur nous plonge dans son adolescence, dans ce maelström d’émotions qu’un gamin de 17 ans traverse, mal dans sa peau, mal dans son identité, dans ses amitiés avec en fond un tueur en série qui rôde de plus en plus proche de lui. C’était tout simplement incroyable …

On ne sort jamais indemne de la lecture d'un roman de Bret Easton Ellis! Relecture du livre qui l'avait fait connaître (Moins que zéro), ce roman est un peu la crème de la crème de ce que les États-unis fait de pire. Jeunesse désabusée, Corruption et meutres en séries. Ce roman parlera à votre mauvais fond et vous fera sourire à l'humour le plus noir.

1981 à Los Angeles, Bret et ses amis vivent une vie de gosses de riches entre cours en école privée, soirées très arrosées et drogues dès le petit déjeuner. Bret se voit écrivain mais à 17 ans , il est plus intéressé par les garçons de son entourage. Et justement un nouveau vient d'arriver , Robert, au passé sulfureux malgré son jeune âge. Bret, obsessionnel et paranoïaque, va voir en robert le trawler, un tueur en série de jeunes filles . Il va se mettre à le suivre jusqu'au drame final. Premier livre de cet auteur et plus de 900 pages ingurgitées , et je ne sais toujours pas quoi penser réellement de ce roman. Cette succession de sexe , drogue , soirées plus qu'arrosées avec en toile de fond les meurtres sordides d'un serial killer , m'a laissée avec un arrière goût amer. Bizarrement, même si je l'ai trouvé extrêmement long , je n'ai pas réussi à le lâcher. Et la fin m'a scotché. Les personnages sont tous plus énervants les uns que les autres Cette jeunesse dorée à qui rien n'est refusé mais dont les parents sont totalement absents est pathétique. Finalement je n'aurai qu'un mot à ajouter : trop ! Trop de sexe , trop d'alcool, trop de drogue , trop .... Bonne lecture