Les Employés : Le livre de Olga Ravn

" Le roman de Ravn, tissé de fragments singuliers et de brève bouffées d'émotions brutes, construit une tragédie par petites touches impressionnistes. " Jean-Louis Trudel, Solaris

" Ne cherchez plus votre OVNI de cette année. Les Employés est à ranger quelque part entre Zamiatine et Rivers Solomone. Un vent nouveau venu du Danemark ! " Librairie Critic (Rennes )

" Olga Ravn, c'est Samuel Beckett qui écrirait Alien –; dans la perspective d'une science-fiction comme celle d'Asimov, d'Herbert ou d'Arthur C. Clark, avec des colonies terraformées, mais racontée avec l'âpreté et le dépouillement de Godot. C'est un verre de whisky après un marathon, quand on espérait un litre d'eau : ça vous coupe les jambes. " Nicolas Gary, ActuaLitté

" Les Employés, ce serait comme une niche ouatée et poreuse dans laquelle dormirait une histoire, un récit entêtant, qui questionne sans question et répond sans réponse. Un petit bout de texte qui joue sa mélodie des confins à l'intérieur de vous. Une voix un peu mélancolique un peu stupéfiante un peu tout ça, extraite d'espaces intemporels et sans géographie. " Fabien Bernier, Librairie Decitre, Grenoble

" À travers ce roman de science-fiction, nourri de poésie et de symbolisme, Olga Ravn montre combien la vie n'a de sens que par sa mort. Un message éclairant à l'heure où les apôtres du transhumanisme tentent de contourner ce qu'ils voient, à tort, comme une fin et non un début à tout. " Alice Develey, Le Figaro