Les Vies de papier : Le livre de Rabih Alameddine

" Les Vies de papier propose, entre autres choses, une méditation sur le temps, la politique, la littérature, la solitude, la douleur et la résistance. S'il y a des défauts à ce magnifique et envoûtant roman, ils ne se laissent pas facilement découvrir. "

" Irrésistible... L'auteur ouvre grand les portes sur les réflexions de sa tendre, gentille, vulnérable et grincheuse héroïne. Aaliya explique que, pour elle, la lecture c'est essayer de " laisser s'émietter le mur qui la sépare du livre ". Le portrait dressé par Rabih Alameddine d'une vie dédiée à l'intellect est empreint de douceur, d'humanité et, pendant un court instant, le lecteur parvient à oublier qu'un tel mur existe. "

" Une écriture sublime ... aiguisée, intelligente, souvent sardonique ... un hommage à la littérature "|Fran Hawthorne

" Lire Les Vies de papier c'est écouter une voix, celle d'Aaliya, qui ne courre pas après une intrigue, bien que des évènements majeurs se présentent, au présent comme dans ses souvenirs. Un livre amusant, souvent drôle. Riche en métaphores inattendues ... Toutefois, Les Vies de papier est loin d'être un roman léger. C'est un livre fort et grave. C'est l'étude minutieuse, heure après heure, d'une femme qui se bat sans cesse pour sa dignité ... Le sens de la dignité humaine est peut être la thématique la plus importante de la littérature, et Alameddine en use à chacune des pages de son merveilleux roman. "

" Joueur, intelligent et plein d'entrain, Les Vies de papier est le remède à la littérature sans saveur. "

" Le remarquable roman d'Alameddine est un éloge à la fiction, à la poésie et à l'amitié féminine. Plongez vous à l'intérieur de sa prose vive et intelligente et vous en sortirez avec une envie folle de lire davantage. "

" Tout autour de la trame narrative principale affluent des histoires secondaires, celles des gens qu'Aaliya a rencontré. La ville de Beyrouth même est un personnage, qui s'effondre et se relève, et qui doit faire face à sa modernisation tandis qu'Aaliya prend de l'âge. L'esprit mordant et vif d'Aaliya prend toute sa force sous la plume d'Alameddine. Lisez Les Vies de papier une fois, puis une deuxième, lisez d'autres livres et revenez-y dix ans plus tard, lisez le à nouveau. Celui-ci on le garde ! "

" Aaliya est intelligente, acerbe, drôle ... l'un de ces rares personnages qui devient plus " vrai " que les gens qui nous entourent, et ce pour un moment "

" Les Vies de papier est un hommage aux vertus curatives de la littérature au travers d'un protagoniste inoubliable... Alameddine électrise le texte d'une tension entre passé et présent, fantasme et réalité. "

" Un des plus beaux et des plus originaux personnages de femme des dernières années. "

" A travers une libraire téméraire, Rabih Alameddine rend un vibrant hommage à la littérature. "

"Le récit est une descente verticale et transversale, verticale, jusqu'au cœur du personnage, avec la description minutieuse de son quotidien, de ses rapports conflictuels avec sa famille, de ses goûts littéraires, des auteurs qui l'habitent, de ses désirs profonds, de sa sexualité quand elle s'empare d'elle."

"C'est un roman, avec une direction à plusieurs voies, un langage à plusieurs voix aussi, poétique évidement car la poésie embrasse tout, philosophique certainement, sans jamais d'emphase ni d'envolées, la philosophie sourd doucement du récit. On l'aime, on est embrasé, souvent le cœur serré et repris par le sourire."|Diane de Pontcharra

" Un magnifique portrait de femme libre, qui fait du bien en ces temps mouvementés. "

Magnifique confession d'une femme libre qui a refusé d'entrer dans le rang des épouses, des mères et des croyantes, Les Vies de papier se range résolument du côté des minoritaires, des non-conformistes, les Schulz, Pessoa, Cavafy, Sebald, Pavese ou Wood.

" Grâce soit rendue à Rabih Alameddine, qui, à travers cet extraordinaire portrait de femme, nous fait palper au plus près le pouls de la frénétique Beyrouth et goûter la saveur des grands écrivains du XXe siècle. "

" Rabih Alameddine imagine une héroïne à l'image de Beyrouth " vieillissante, imprévisible, magnifique". Mais il compose surtout un hymne à la littérature. "

" L'écriture est fluide, précise, riche. C'est un personnage qui peut aider à donner un sens à sa vie par la littérature et par l'art. Il y a de la beauté, de la réflexion. "|Jocelyne Bellay

"Un très beau roman, qui interroge la place des livres dans la vie et aussi, de manière très intéressante, la question de la traduction et ravira les amoureux de la littérature et de la poésie !"|Caroline Doudet