"Cynisme et pessimisme pour un roman noir de premier ordre, grandeur et décadence d'un usurpateur fascinant, l'homme au monocle et au crâne rasé n'a pas fini de hanter les mémoires !" Valeurs actuelles
"Un bouquin truffé d'anecdotes... A découvrir." Paris Normandie
"En parfaite harmonie avec son sujet, Joséphine Dedet se mue en formidable mystificatrice avec ce texte dont on n'est guère sûr qu'il s'agisse d'un roman. Tout y sonne juste, vrai, sincère. " Le Figaro magazine
"Une tragicomédie au parfum suranné parfaitement maîtrisée. " La voix du Nord
"Empruntant les pas de son héros, Joséphine Dedet tisse la toile de sa fiction en trempant sa plume au mythe et à la réalité Un aller retour composé comme un divertissement autour de Von, le démoniaque chef d'orchestre. "La Montagne
"Un roman à clés, "entre fiction et réalité, mystification et voyeurisme", dans la Hollywood de 1928, où l'auteure transpose librement la rencontre entre ces trois personnalités sur le tournage de "Queen Kelly". Une histoire (de corbeau) à la morale cynique : "La raison du plus faux est toujours la meilleure"." La Libre Belgique
"Joséphine Dedet ressemble à ces footballeurs qui font le bonheur de leur coach car ils peuvent jouer à tous les postes. Elle est parfaitement à l'aise dans la progression narrative, dans l'esquisse des décors, dans les dialogues [...] Les allers-retours entre le présent [...] et le passé [...] finissent par donner le vrai sens de ce roman, qui en acquiert une dimension psychologique fascinante. [...] Quelle était la blessure de Von ? Lisez l'analyse du docteur Dedet... " Jeune Afrique
" En tout cas, le pari de Joséphine Dedet est tenu : on a aimé haïr Von. Que dis-je aimé ? adoré..." Jeune Afrique
"Le propos est intéressant et le récit agréablement cocace." La Liberté
"Que ce soient Stroheim, Jo Kennedy ou Gloria Swanson ou même Rose Kennedy, tous se sont perdus dans leurs propres miroirs [...] surtout le réalisateur, décadent et mythomane, seul personnage, au final, aimable, malgré ses provocations et le mépris qu'il porte à ses semblables." amandameyre.com
"L'homme que vous aimerez haïr est un remarquable roman qui, en plus de nous ramener aux origines du cinéma, nous plonge dans une histoire de faux-semblants qui rappelle, par sa perversion et sa mécanique voyeuriste, quelques glorieux huis clos." Fluctuat.net
"Le principal intérêt du roman tient dans ce jeu qui s'installe entre l'existence intime des personnages (Jo, Gloria, d'un côté, Von de l'autre) et leur façade sociale. Le film est un miroir de ces jeux d'images qui se brise quand Von tombe à court de scènes." Fluctuat.net
"Dedet sait donner la charge (tout sauf héroïque) quand il faut, mêlant l'humour pince sans rire, la cruauté et l'acidité des manipulations." Fluctuat.net
"C'est un roman divertissant et ténébreux, noir et plein de strass, amoral, qui est beaucoup plus moderne qu'on ne le pense, nous montre le virtuel de ce monde d'illusions, la décadence non seulement de la MittelEuropa que peut incarner Von, mais aussi d'une entredeux guerres où déjà le juif qu'est Von se cache sous des déguisements psychologiques et physiques." Réforme
"Joséphine Dedet avec L'homme que vous aimeriez haïr, est habitée d'une écriture, vive, pratiquant l'art du dialogue avec célérité, donnant vie à des personnages qui sont doubles, entre jeux et ventes. [...] Remarquable et hallucinant." Réforme
"Pur bonheur d'originalité, d'inventivité, de qualité de langage, la mise en scène est toute théâtrale, un huis clos dans l'univers du cinéma des années 30." La Savoie
"On entre en scène, de plain-pied dans la peau du cinéaste (regard plein de justesse d'une femme sur la mécanique intime d'un personnage masculin trouble) et tout s'agite autour de soi. Le tourbillon de ce microcosme que sont le lieu d'un tournage et les relations comédiens, réalisateur, financier se fait piquant, vaudevillesque, subtilement pervers. [...]Une belle réussite, bourrée d'énergie et de talent." La Savoie
"Erich Von Stroheim hante cet ouvrage comme il hantait ses films avec son physique et sa personnalité atypiques." Paris Match
"Dissimulateur, menteur, usurpateur, en supplément quelque chose de pervers hérité de Sacher Masoch, sous ces différents aspects est montre Eric Von Stroheim dans ce livre brillant." Service Littéraire
"Un brio infernal, chacun tirant la couverture à soi, pour le meilleur et pour le pire." Service Littéraire
"Joséphine Dedet revendique à la suite de Von Stroheim cette technique d'imbrication du vrai et de la fiction qu'il avait su mettre en scène aussi bien dans ses films que dans sa vie." e-litterature.net
"Joséphine Dedet évoque la rencontre de ces personnages mythiques [...] avec une crudité qui surprend puis fascine." Royaliste
"Dialogues ciselé à l'or fin. Hommage à un cinéaste hors du commun." Focus Vif