Tout ce qui est solide se dissout dans l'air : Le livre de Darragh McKeon

"Darragh McKeon a choisi de rouvrir une terrible page de l'histoire du siècle dernier. L'Irlandais, salué par Colum McCann et Colm Tóibín, le fait avec énormément de maîtrise et de finesse. Ce qui donne à son coup d'essai l'allure d'un opéra déchirant."|Alexandre Fillon

"Un premier roman remarquable de justesse et de sensibilité. Si prometteur qu'il risque d'irradier encore longtemps."|François Lestavel

"Bouleversant."|Isabelle Bourgeois

"La catastrophe nucléaire soviétique et ses séquelles ont donné naissance à plusieurs romans. Darragh McKeon leur confère toutefois une ampleur inégalée par sa structure ramifiée et sa myriade de personnages saisis au vif de leurs émotion."|Macha Séry

"Ce roman est non seulement captivant mais aussi utile."|Alexandra Schwartzbrod

"Darragh McKeon a parfaitement retranscrit la peur, la souffrance et l'ignorance qui régnaient à l'époque en Union soviétique. Grâce à l'humanité de ses eprsonnages, ces pages, très documentées, livrent un autre regard sur cette catastrophe."

"McKeon nous plonge dans cette période trouble à tout point de vue. Tel un peintre, il endresse un tableau par touches, en croisant les regards, les existences, les situations. Dessinant un quotidien gris, violent, aseptisé... ou presque."|Jacques Lindecker

"Une plume ciselée et poétique, à suivre sans faute."|Johanna Rolandeau

"À la manière d'un Tolstoï des temps modernes, l'auteur irlandais signe un premier roman qui nous entraîne dans ce que l'âme humaine a de plus désespéré. Un chef-d'oeuvre."|Valérie Gans

"Un premier roman plein de souffle. [...] Darragh McKeon a le sens de la dramaturgie et du détail, de l'objet qui porte une histoire, de la nature et de ses beautés furtives. De tout ce qui se dissout dans l'air et dont nous portons l'empreinte."|Jeanne de Ménibus

"De belles pages de poésie disent avec justesse la mélancolie et le désespoir de l'âme russe. Il y a dans ce récit quelque chose du roman de son illustre devancier irlandais Colum McCann, Danseur. Et aussi du Docteur Jivago, dans le parcours et les amours de Grigori Brovkin. Excusez du peu."|Yves Viollier

"Ambitieux, maîtrisé, ce premier roman est un surprenant mélange d'indignation et de résignation."|Claude Fierobe

"La prose de McKeon est splendide comme un lever de soleil sur la plaine enneigée. Elle sert magnifiquement l'histoire de quatre personnages, de quatre destins."|Jean-Claude Vantroyen

"On ressort sonné de ce récit coup de poing qu'on ne lâche pas. Un premier livre magistral."|Danielle Sommer

"Darragh McKeon reste à hauteur de regard, accompagne de son écriture parfois élégiaque les hommes qui tentent d'éteindre les feux, les femmes qui se révoltent ou se sacrifient, les enfants innocents. Le combat contre l'oubli et l'indifférence est à chaque page de ce livre rageur et mélancolique."|Christine Ferniot

"Darragh McKeon s'approprie avec finesse ce fait historique qui résonne toujours dans l'actualité pour en faire un récit poignant qui ne tombe jamais dans le larmoyant.'|Karin Cherloneix

"Une très belle partition, mélange de tragédie grecques et de chronique politico-sociale."|Marianne Payot

"Des descriptions saisissantes et un lyrisme discret font de ce premier roman une révélation de la rentrée littéraire."|Françoise Dargent

"Darragh McKeon retrace quatre destinées bouleversées par une catastrophe sans précédent. [...] L'entrée sur la scène littéraire d'un écrivain à suivre de près."|Geneviève Simon

"Un livre d'amour et de colère, nécessaire en ces temps de grands combats pour le climat et la survie de la terre."

"Un premier roman époustouflant tant par la richesse de son contenu historique que par la tendresse que dégagent ses personnages. A découvrir d'urgence."|Marie-Christine Luton

"Ouvrir ce Docteur Jivago de l'ère nucléaire, troussé par un Irlandais prodige de 35 ans, c'est pénétrer, sans protection, dans la zone interdite ukrainienne et plonger dans l'apocalypse autant que dans le coeur des hommes qui entrent en fusion."|Julie Malaure

"Darragh McKeon a le ton juste, un pouvoir d'évocation qui force l'admiration, qu'il s'agisse de décrire les séquelles des radiations ou la beauté maléfique d'un petit matin irradié. Sans sombrer dans le sentimentalisme, il donne coeur et âme aux passions humaines fauchées par la mort et la violence d'Etat."|Philippe Chevilley